Des Vikings à Sparte

Entre la figure omniprésente de l’homme noir et celle du blanc efféminé, du travesti, du transsexuel, de « l’homme enceint », de toute cette faune de déviants relevant uniquement de la psychiatrie, figures constituant les deux piliers de l’entreprise de destruction de l’Homme blanc par un pouvoir pervers malsain et renégat, nous sommes là, et nous tenons dans cette époque putride, nous tenons par notre admiration de la figure de l’homme européen, des Vikings à Sparte.

Dragi MAJSTOROVIC

Rouge, mais pas trop

Au rang des tromperies dans lesquelles on fait vivre les Français, figure celle de la nature « anticapitaliste » du journal communiste L’Humanité. Les éléments qui démasquent cette imposture sont les suivants.

L’Humanité est depuis le congrès de Tours en 1920 l’organe officiel du Parti communiste français. Les socialistes en perdirent alors le contrôle comme ils perdaient celui de leur parti avant de se réorganiser ultérieurement.

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Policiers attaqués avec leurs propres armes

Deux policiers viennent d’être très grièvement blessés (pronostic vital engagé) dans le commissariat du 13e arrondissement de Paris, par une merde interpellée pour avoir agressé une femme au cutter.

En 2008, je rédigeais un pavé de 400 pages format A4 pour être remis à mes fils à leur 18 ans, intitulé Chronique d’une France en décomposition, afin qu’ils soient précisément affranchis sur la nature du pays où ils allaient vivre. A la page 229, j’écrivais : 

« … Les démocraties occidentales droit-de-l’hommistes sont des sociétés aux esprits profondément malades. Seule une société malade peut concevoir et accepter que ses policiers, ses pompiers, corps engagés au service du Bien de tous, se fassent quotidiennement insulter, cracher dessus, attaquer, sans pouvoir corriger comme ils le méritent les auteurs de ces intolérables outrages. Depuis quinze ans, il ne se passe pas une semaine sans que, dans l’un ou l’autre des secteurs urbanisés que compte le pays, des groupes de délinquants afro-maghrébins, pouvant rassembler jusqu’à 200 individus là où j’ai eu l’occasion d’œuvrer, défiant l’autorité et entretenant une situation insurrectionnelle, attaquent une Police empêchée par le terrorisme intellectuel d’intervenir en répression de façon véritablement dissuasive, Police contrainte par des dispositions réglementaires d’humanisme et de prévenance envers la racaille (article 10 du code de déontologie de la Police nationale), et des instructions générales d’une parfaite couardise, de n’user que de gaz lacrymogènes, de flashballs, ou de tasers inefficaces. Dans les premiers temps, les agressions des délinquants à l’encontre des forces de l’Ordre consistaient en de simples jets de pierres, les « caillassages ». N’ayant pas été réprimées et punies par les juges comme il l’aurait fallu, leurs auteurs en ont progressivement élevé la gravité, à la faveur de l’absence constante de sanctions dissuasives. J’ai vu ces agressions évoluer au fil des ans dans les rapports et messages me parvenant. On est passé des caillassages à bonne distance, à des jets depuis quelques mètres, puis au contact physique, et en toute logique viendra un temps où l’un d’eux, plus enragé que les autres, n’hésitera plus à s’emparer d’une arme de service pour la retourner sur un fonctionnaire. Tout à la fois prisonniers et serviteurs de leur système, gouvernants, autorités policières et magistrats auront laissé faire en toute connaissance de cause, jusqu’à ce qu’un drame survienne dans les rangs policiers … » 

2024. Nous y sommes.

Dragi MAJSTOROVIC

Les belles méthodes des associations d’aide aux migrants

Le discours gauchiste établi n’a pas de mots assez élogieux pour qualifier les « Associations » d’aide à la submersion migratoire. Derrière ce décor de façade humaniste, il faut connaître et dénoncer la réalité de leurs pratiques. Pauline Condomines, reporter chez Livre Noir, a infiltré ces associations et exposé leur fonctionnement. Associations qui comme on le sait disposent d’argent public. Elle a constaté comment elles instrumentalisaient les immigrés à des fins de militantisme politique. Cas d’école avec une association du XXe arrondissement de Paris :

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La Russie prisonnière du 9 mai

La Russie du XXe siècle a été égarée dans le bolchevisme et le communisme par des activistes et révolutionnaires juifs que le système tsariste trop bienveillant n’a pas su neutraliser. Le nouveau pouvoir rouge s’est ensuite naturellement allié au système de même racine hébraïque dirigeant les pays occidentaux, contre l’Allemagne du IIIe Reich. Cela a coûté à la Russie 20 millions de morts au cours du second conflit mondial. 

La Russie de Vladimir Poutine n’est plus l’URSS du XXe siècle. Elle a rompu avec ses anciens alliés de circonstance et constitue l’un des grands pôles de résistance à la dégénérescence occidentale issue de la pensée « progressiste » maçonnique. Qu’elle soit amplement remerciée pour cela. Il est impossible d’être partisan de cet Occident dégénéré. Des deux camps en présence, il faut préférer le moins mondialiste. Mais, par ces 20 millions de morts, la Russie actuelle demeure enferrée dans une opposition mémorielle à l’Allemagne qui à l’époque combattait pourtant ceux auxquels elle s’oppose aujourd’hui, cet Occident devenu dégénéré parce qu’il n’a pas changé d’idéaux depuis 1945. Ironie de l’histoire.

La Russie ne peut pas effacer ces 20 millions de morts de ses commémorations, c’est compréhensible, les pertes furent énormes et le souvenir dans les familles beaucoup plus vivace qu’en France aujourd’hui où la France traditionnelle s’éteint et où une fraction énorme de la population constituée par la submersion migratoire extra-européenne n’a aucune attache avec le second conflit mondial. Mais au lieu d’évoquer ses morts en restant dans le contexte d’opposition à l’Allemagne, la Russie pourrait le faire pour dénoncer le système bolchevique qui l’a amenée à une telle saignée. Elle ne le fait pas. Elle perpétue comme valide la parenthèse stalinienne qui l’a menée à cette hécatombe. C’est bien dommage. 20 millions de portraits brandis dénonçant cet égarement bolchevique, clamant que la Russie a été violée à l’époque et pointant les vrais responsables obéissant à la Loi du Sinaï, ça aurait du poids contre le système mondialiste actuel qu’elle combat pour la survie de la civilisation.

Dragi MAJSTOROVIC


(AP Photo/Alexander Zemlianichenko)

Les femmes russes, de vraies femmes, pas des mutants à la française déguisés en Dalida

Et il est toujous là !

« Le tyran ne dure que parce qu’il a cinq à six ministres à sa solde, lesquels commandent à six cents capitaines à qui obéissent six mille hommes, etc. La tyrannie produit une armée de sous-fifres, de tyranneaux, de complices, la banalité du mal. «  – François Bousquet

Camarade Trotski

Un trostskiste (il en existe encore hélas) vous dira que son maître à penser voulait « une véritable révolution marxiste-léniniste, une authentique révolution soviétique, plus humaine, sans bureaucratie et sans goulag ». Ce bon trotskiste mérite le grand prix de la naïveté communiste digne du théoricien italien de la révolution culturelle, Antonio Gramsci, saluant la révolution d’Octobre où l’on « ouvrait les portes des prisons qui ne se refermeraient jamais plus ! » Car Leib Bronstein, alias Lev (en français, Léon) Davidovitch, détenteur d’un faux passeport établi au nom de Trotski (nom cruellement emprunté à une famille de l’aristocratie tsariste), pseudonyme qui lui restera, n’était pas un enfant de chœur de la synagogue. Il n’ignorait rien de la cruauté selon lui nécessaire de la révolution « grande dévoreuse d’hommes » et qui d’ailleurs allait le dévorer lui aussi.

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Sodome et Gomorrhe sur Seine

Emmanuel Macron a poursuivi, tout en l’amplifiant, l’œuvre de destruction de ses prédécesseurs, mais son apport supplémentaire et nouveau, c’est cette promotion acharnée par tous les moyens et dans tous les secteurs, de toute ce petit monde de déviants sexuels relevant de la psychiatrie, qui accélère prodigieusement la décadence du pays. Emmanuel Macron est un champion de la subversion.

Vivre sous l’arbitraire

C’est une évidence que de le dire, mais la loi n’a pas d’existence ex nihilo, c’est une création humaine, conçue, rédigée et votée. Et quand on voit ce qu’elle est capable d’interdire aujourd’hui, ce qu’ils sont capables de lui faire faire, persécuter parce que l’on affirmer qu’il n’y a que deux genres par exemple, ou que la préférence nationale est une évidence, on réalise que l’on ne peut plus faire aucune confiance dans la loi devenue scélérate et dans les structures chargées de la faire appliquer. L’esprit d’arbitraire des enragés de 1789 est de retour.