Des Vikings à Sparte

Entre la figure omniprésente de l’homme noir et celle du blanc efféminé, du travesti, du transsexuel, de « l’homme enceint », de toute cette faune de déviants relevant uniquement de la psychiatrie, figures constituant les deux piliers de l’entreprise de destruction de l’Homme blanc par un pouvoir pervers malsain et renégat, nous sommes là, et nous tenons dans cette époque putride, nous tenons par notre admiration de la figure de l’homme européen, des Vikings à Sparte.

Dragi MAJSTOROVIC

Vivre sous l’arbitraire

C’est une évidence que de le dire, mais la loi n’a pas d’existence ex nihilo, c’est une création humaine, conçue, rédigée et votée. Et quand on voit ce qu’elle est capable d’interdire aujourd’hui, ce qu’ils sont capables de lui faire faire, persécuter parce que l’on affirmer qu’il n’y a que deux genres par exemple, ou que la préférence nationale est une évidence, on réalise que l’on ne peut plus faire aucune confiance dans la loi devenue scélérate et dans les structures chargées de la faire appliquer. L’esprit d’arbitraire des enragés de 1789 est de retour.

Les Français, ce « peuple souverain »

Qui selon l’article 3 de la constitution exerce sa souveraineté dans le cadre démocratique et à travers des représentants élus. On sait combien cette doctrine est une escroquerie, c’est suffisamment établi par les faits. Mais il est intéressant de voir avec quelques données chiffrées exhumées des archives à quel point la volonté des Français a été bafouée par des dirigeants uniquement investis dans l’application de leurs propres idées, leurs idéaux, leurs utopies. Un sondage réalisé par la SOFRES montre que, dès 1968, les deux tiers des Français pensent déjà qu’il y a trop de Nord-africains en France. Dès 1974, 70 % d’entre eux estiment que les Algériens sont « mal intégrés » et 21 % seulement qu’ils sont bien intégrés. Ce ne serait guère forcer l’interprétation que de traduire « mal intégrés » par « mal intégrables ». La gouvernance va-t-elle tenir compte de cette opinion et de l’idée qui en découle par évidence chez la majorité des sondés, stopper l’immigration ? Giscard et Chirac feront en 1976 le regroupement familial ! 

Entre 1969 et 1971, le nombre des partisans de la peine de mort en France bondit de 33 % à 53 %. La tendance ne fera que s’accentuer dans les années suivantes : quinze ans plus tard, soit en 1986, ils sont 65 % à réclamer son rétablissement. Entre temps, Badinter et Mitterrand l’abolissent en 1981. La COFREMCA, société d’études créée en 1953, spécialisée dans l’analyse des comportements, des mentalités et des caractéristiques dès le milieu des années 1970, a pris, année après année, le pouls de l’opinion entre 1975 et 1985. Elle a toujours trouvé 75 % des Français pour estimer qu’ « il y a trop de désordre dans la société française » et que « les choses doivent être reprises en main ». On voit quelle est la situation aujourd’hui.

Le respect de la souveraineté du peuple et de ce qu’il pense sur cette terre de France est véritablement impressionnant. 

Pour le camp le moins mondialiste

Dans le conflit de civilisations qui s’annonce à travers le prétexte ukrainien, nous ne pouvons pas être du côté de l’Occident dégénéré sous la gouverne des francs-maçons, avec ses excès, ses dérives, son inversion des normes, et ses dogmes contre-nature, son ingénierie sociale, sa rage de détruire notre identité dans son modèle de melting-pot et de métissage, sa promotion de l’homosexualité, du mariage et de l’adoption par des couples homosexuels et lesbiens, sa promotion de la transition de genre, sa gestation pour autrui, ses drag queens dans les écoles prenant en main le cerveau des enfants, son wokisme, sa cancel culture, son système éducatif qui pond des idiots à la chaîne, sa société superficielle d’entertainment diversion, sa religion de la consommation, ses obèses, ses drogués, son insécurité et sa criminalité florissante. Ce modèle est celui d’une société malade, rebutante, infecte. Nous ne pouvons nous situer que du côté de la société traditionnelle et naturelle reconnue par le reste du monde. Nous ne pouvons être que du côté de ceux qui sont le moins mondialistes.

L’astuce ne fonctionne plus

On nous dit « Mais comment peut-on avoir une sympathie pour l’Allemagne des années 1930 et du IIIe Reich, après les horreurs ayant eu lieu à cette époque et sous son idéologie ? Ce à quoi il faut répondre que précisément, il s’agit du passé, et que nous vivons dans le présent, avec toutes les conséquences funestes de la politique des vainqueurs de 1945. Et que le rappel incessant de ce passé est précisément fait pour nous maintenir dans le piège, pour désarmer, empêcher toute contestation de la politique des vainqueurs de 1945 toujours appliquée à nos pays. Ce stratagème leur a permis d’avoir les mains libres, mais il ne fonctionne que tant que l’on accepte de s’y soumettre. Dès que l’on a le courage de ne plus s’y plier, il s’effondre de lui-même et apparaît pour ce qu’il est. Ne plus se laisser dominer par cette évocation du passé, c’est tout simplement sortir de la « caverne de Platon ». Certains nient, ou révisent tel ou tel élément de cette histoire passée, et s’épuisent dès lors sous les persécutions judiciaires menées par les tenants du narratif officiel. A quoi bon ces contestations ? Il faut dépasser cette étape. Tel personnage a fait ceci ? Ok. Il y eu « tant » de morts ? Ok, et alors !.. Sous ces prétextes on devrait aujourd’hui accepter ce qui nous est imposé et l’orientation donnée au continent européen par les continuateurs de l’idéologie de ceux qui furent au rang des victimes ? Qui peut adhérer à quelque chose d’aussi insensé ! Aujourd’hui, il n’est même plus question de devoir nier ou contester tel ou tel élément, c’est inutile et contre-productif. Il faut simplement les laisser affirmer ce qu’ils veulent et ne pas se sentir liés par ce narratif officiel. Le passé est le passé. Nous sommes d’un autre temps. Pour être libres d’agir pour la sauvegarde de notre identité, de notre présent et notre futur, il faut simplement ne plus faire cas de ce passé, quel qu’il ait été, ne plus se laisser influencer par les lamentations. On ne peut pas soumettre éternellement notre avenir à une partie du passé, accepter de compromettre notre futur au prétexte d’éléments passés, aussi « inhumain » que cela puisse paraître à ceux qui vivent encore sous la domination de ce stratagème, quelle qu’ait été la dureté des épreuves et des malheurs subis par certains. Si nous restons soumis à l’instrumentalisation de ce passé, nous sommes condamnés. L’astuce ne fonctionne plus.

Le youki à son pépère…

Dans une autre dimension, on apprend grâce aux bonnes oeuvres de TF1 que le chien de Gabriel Attal s’appelle Volta. Dans le monde réel français, des patients crèvent aux urgences, des agriculteurs se suicident, des dissidents sont censurés, emprisonnés, et des enfants « font des stages de drag queens ». En fin de compte, on comprend pourquoi la masse des golems vit dans ce que l’on appelle « le médiavers » ( tronchée de l’Apple visio pro, évidemment ) : ça doit avoir un côté rassurant…

Pourquoi le gauchiste est-il quelqu’un en état d’infériorité mentale ?

Quelles que puissent être sa culture, son instruction, son érudition, le gauchiste est objectivement, factuellement, quelqu’un en état d’infériorité mentale. Pourquoi ? Parce qu’indifférent à la disparition de son identité, de sa culture, de ce qui lui a été laissé en héritage, il n’est mû que par une seule chose : l’émotionnel. Et en conséquence l’accueil de « l’Autre », notion mal comprise du christianisme dévoyé. Accueil sans discernement de quantité et d’origines. Rien d’autre ne l’intéresse, quelles qu’en soient les conséquences pour l’avenir de la sphère civilisationnelle qui lui a donné le jour et celui du lieu où il vit. Il refuse le réel, et il est imperméable à la raison. Et il faut pour cela avoir une cervelle totalement frelatée de renégat mentalement inférieur. Le problème terrible, c’est que le gauchiste est présent par dizaines de millions dans notre monde occidental, et que bien entendu il ne cessera jamais de nuire par lui-même. Et l’on ne voit pas comment le neutraliser. Sauf à recourir à des moyens pour l’instant décrétés illégaux.

Billet d’humeur

N’oubliez jamais que si la diversité peut nous égorger ou violer nos femmes et nos filles, c’est que rien n’a été fait pour l’en empêcher. Depuis cinquante ans, aucun président n’a eu la volonté d’empêcher ça. Ils se sont tous succédé aux affaires et ont tous continué une politique migratoire démente. Ils n’ont rien fait pour punir et dissuader les criminels et les délinquants avec des peines dignes de ce nom. Ils ont pratiqué la submersion par une immigration à la culture incompatible et les naturalisations de masse nous rendant toujours un peu plus étrangers dans notre propre pays. Ils n’ont jamais rien fait qui soit frappé au coin du bon sens et de la normalité. Certains continuent à ne pas croire que tout ceci soit voulu, que cela fait partie d’un plan (celui qui ne croit pas au complot fait partie du complot). Mais quoi qu’il en soit, ils sont coupables. La main invisible de leur lâcheté et de leur soif de pouvoir tient également le couteau.

Reste-t-il une chance de sursaut ?

Après chaque massacre, chaque agression mortelle sur des « Gaulois », les rats de plateaux télé s’empressent avec une satisfaction écœurante de flatter les Français en qualifiant leur passivité de « comportement digne », pour les y entretenir, alors que ce dernier n’est qu’un désarmement mental, une extinction de l’instinct de préservation, un comportement de larves émasculées, qui ne sont plus capables d’une réaction physique de masse contre ce qui nous menace. Et ça marche. Quand on voit en comparaison la récente réaction Irlandaise !…

On entend ces mêmes intéressés au statu quo dire à chaque fois que « cette fois-ci, c’est la fois de trop, les choses vont changer… ». Rien ne change jamais, la gouvernance sociale-démocrate mondialiste qui a créé cette situation n’acceptera jamais d’agir car ce serait reconnaître sa forfaiture en ayant mené depuis cinquante ans une politique migratoire criminelle pour le destin français. Et dans ce pays la gouvernance ne reconnaît JAMAIS ses erreurs. On a été jusqu’à décapiter au couteau un enseignant dans la rue, sur la chaussée, en plein jour, c’était « la fois de trop », une démente sous OQTF a découpé une gamine, c’était « la fois de trop », un salopard sous keffieh a voulu s’en prendre à des enfants dans un jardin public, c’était « la fois de trop », un deuxième professeur a été tué à la lame, c’était « la fois de trop », pour ne citer que les cas les plus récents, rien n’a bougé, peluches, ballons, bougies, l’indignation silencieuse, sous condition de ne désigner personne, c’est un cas isolé, on promet que ça n’arrivera plus, l’agresseur est déclaré irresponsable pénalement, disparaît des évocations médiatiques, la routine reprend, jusqu’à la prochaine fois… Nous publions fréquemment avec l’optimisme nécessaire à l’entretien de la flamme résistante et avec l’espoir de servir à la détermination des générations futures. Dans son livre Du bon usage de la guerre civile en France, Jacques Marseille expliquait à travers plusieurs exemples historiques qu’à chaque fois que la France s’est trouvée en péril de disparaître, un sursaut salvateur s’est produit. La réaction de colère enragée qui devrait être celle des Français contre ce qui les menace et contre ceux qui ont installé cette menace va-t-elle un jour surgir et s’organiser ? Ils sont éteints, moralement désarmés, terrorisés par un pouvoir qui leur a montré ce qu’il savait faire des lance-balles de défense pour améliorer la vision oculaire des manifestants, ils savent que s’ils agissent la justice fera preuve à leur encontre d’une sévérité qu’elle épargne à d’autres, et nous pensons toujours à ces mots de Louis-Ferdinand Céline : « Pour que dans le cerveau d’un couillon la pensée fasse un tour, il faut qu’il lui arrive beaucoup de choses, et des bien cruelles. »