Après chaque massacre, chaque agression mortelle sur des « Gaulois », les rats de plateaux télé s’empressent avec une satisfaction écœurante de flatter les Français en qualifiant leur passivité de « comportement digne », pour les y entretenir, alors que ce dernier n’est qu’un désarmement mental, une extinction de l’instinct de préservation, un comportement de larves émasculées, qui ne sont plus capables d’une réaction physique de masse contre ce qui nous menace. Et ça marche. Quand on voit en comparaison la récente réaction Irlandaise !…
On entend ces mêmes intéressés au statu quo dire à chaque fois que « cette fois-ci, c’est la fois de trop, les choses vont changer… ». Rien ne change jamais, la gouvernance sociale-démocrate mondialiste qui a créé cette situation n’acceptera jamais d’agir car ce serait reconnaître sa forfaiture en ayant mené depuis cinquante ans une politique migratoire criminelle pour le destin français. Et dans ce pays la gouvernance ne reconnaît JAMAIS ses erreurs. On a été jusqu’à décapiter au couteau un enseignant dans la rue, sur la chaussée, en plein jour, c’était « la fois de trop », une démente sous OQTF a découpé une gamine, c’était « la fois de trop », un salopard sous keffieh a voulu s’en prendre à des enfants dans un jardin public, c’était « la fois de trop », un deuxième professeur a été tué à la lame, c’était « la fois de trop », pour ne citer que les cas les plus récents, rien n’a bougé, peluches, ballons, bougies, l’indignation silencieuse, sous condition de ne désigner personne, c’est un cas isolé, on promet que ça n’arrivera plus, l’agresseur est déclaré irresponsable pénalement, disparaît des évocations médiatiques, la routine reprend, jusqu’à la prochaine fois… Nous publions fréquemment avec l’optimisme nécessaire à l’entretien de la flamme résistante et avec l’espoir de servir à la détermination des générations futures. Dans son livre Du bon usage de la guerre civile en France, Jacques Marseille expliquait à travers plusieurs exemples historiques qu’à chaque fois que la France s’est trouvée en péril de disparaître, un sursaut salvateur s’est produit. La réaction de colère enragée qui devrait être celle des Français contre ce qui les menace et contre ceux qui ont installé cette menace va-t-elle un jour surgir et s’organiser ? Ils sont éteints, moralement désarmés, terrorisés par un pouvoir qui leur a montré ce qu’il savait faire des lance-balles de défense pour améliorer la vision oculaire des manifestants, ils savent que s’ils agissent la justice fera preuve à leur encontre d’une sévérité qu’elle épargne à d’autres, et nous pensons toujours à ces mots de Louis-Ferdinand Céline : « Pour que dans le cerveau d’un couillon la pensée fasse un tour, il faut qu’il lui arrive beaucoup de choses, et des bien cruelles. »