Occident dégénéré

La haine de l’Occident envers la Russie trouve sa source dans le rejet par Vladimir Poutine des dérives sociétales occidentales, défendant farouchement les valeurs traditionnelles.

Son crime aux yeux de l’Occident ? S’opposer à la propagation de la décadence qui a pris racine à l’Ouest depuis son accession au pouvoir en 2000.

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Démystification

Démystification des mots de Gabriel Attal, ici en italiques, dans sa déclaration à l’Assemblée nationale le 12 mars 2024.

 « …Il y a un peu plus de deux ans, dans une offensive cynique, brutale et destructrice, la Russie a attaqué l’Ukraine. Seule responsable du conflit, la Russie a attaqué froidement… »

L’Ukraine manipulée par l’activisme et l’ingérence du bloc atlantiste depuis les troubles de la « place Maïdan », bombardait et attaquait depuis dix ans ses populations de l’Est de son territoire, populations limitrophes de la Russie et russophiles, qui demandaient le secours et le rattachement à la Russie en vertu du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » ce droit que les Occidentaux déballent si facilement et qui vaudrait dans d’autres cas, précisément pour l’Ukraine se séparant de l’ex-bloc soviétique, mais pas pour une partie des Ukrainiens voulant rester avec les Russes, ou encore les conflits des Balkans par exemple avec la Bosnie musulmane séparée de la Fédération yougoslave, peuplée partiellement de Serbes (la Republika Srpska) à qui l’on a refusé un séparatisme identique pour que leur territoire reste lié à la Serbie. Un deux poids deux mesures insupportable. L’affaire ukrainienne est la redite malhonnête et partiale des manigances des gouvernements Occidentaux contre le monde slave. Le cauchemar recommence.

« …une nation libre et démocratique qui ne la menaçait pas… »

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Natacha Polony, une voix honnête

Dans le concert des ordures poussant à la Troisième Guerre mondiale…

« Il s’agit de savoir si nous allons collectivement accepter de marcher comme des somnambules jusqu’à la guerre. Une guerre dont nul ne peut prétendre qu’elle sera maîtrisée ou contenue. il s’agit de savoir si nous acceptons d’envoyer nos enfants mourir parce que les États-Unis ont voulu à toute force implanter des bases aux frontières de la Russie. Quand on envisage d’envoyer des troupes occidentales au sol comme vient de le faire Emmanuel Macron pour jouer les cow-boys au moment où les États-Unis semblent abandonner la place de la grande gueule en chef, quand on livre des missiles longue portée dont la cible ne peut être que Moscou, il faut, si l’on est encore en démocratie, dire clairement au citoyen ce que cela signifie. Le New-York Times, le 25 février, a publié une enquête passionnante, décrivant comment depuis 2014 la CIA implanté douze bases secrètes en Ukraine et formé les services ukrainiens à espionner à grande échelle la Russie. On y apprend que les Ukrainiens ont plusieurs fois dépassé les lignes rouges fixées par leurs interlocuteurs et organisé des exécutions ciblées contre des leaders russes ou séparatistes. On y apprend que ces personnels américains n’ont évidemment pas été évacués au commencement de la guerre mais officient en territoire ukrainien, et que s’ils n’appuient pas sur la gâchette nous dit l’article, ils ajustent le tir. »

Un peu de lucidité…

Il ne faut jamais oublier les leçons de George Orwell. Avec l’opération de bashing anti-russe lancée depuis quelques jours et la rediabolisation du Rassemblement national en prétendant que ce parti est allié de Vladimir Poutine, Emmanuel Macron ne fait que tenter de nous rejouer l’épisode « Goldstein » dans 1984, ce « grand méchant » fictif coupable de tous les maux, à travers lequel les membres du parti sont manipulés et fanatisés. Toujours les mêmes ficelles, grosses comme un pylône d’éolienne, que seuls les cons et les ignorants sont incapables de voir. Nous pensons par ailleurs que le plan, les intentions du dément mégalomane qui occupe l’Élysée, désavoué par l’ensemble des pays occidentaux quant à l’envoi de troupes au sol en Ukraine, est d’engager la France seule et la première, jusqu’à provoquer une frappe russe, ce qui en vertu de membre de l’OTAN et de l’article 5 de la Charte de l’Organisation, que tous les commentateurs semblent oublier, obligera les autres pays membres à s’engager à leur tour pour venir au secours de la France. Voilà ce qu’échafaude selon nous Emmanuel Macron pour généraliser le conflit contre la Russie. Il faut espérer qu’il soit neutralisé à temps par le monde parlementaire français et l’état-major de notre armée.

Rappel aux indécis et aux ignorants sur l’affaire ukrainienne

Après l’effondrement de l’Union soviétique, le bloc atlantiste, l’OTAN, s’était engagé à ne pas chercher à étendre son territoire vers l’Est, et à ne pas installer de bases militaires sur des territoires immédiatement limitrophes de la Russie.

Le bloc atlantiste a trahi sa parole. L’OTAN a étendu son territoire à divers anciens pays de la sphère d’influence soviétique. Et la puissance suzeraine du bloc atlantiste a fomenté une déstabilisation en Ukraine, aboutissant à l’arrivée au pouvoir à Kiev d’hommes lige qui à partir de 2014 ont commencé à bombarder les Ukrainiens de l’Est de l’Ukraine, le Donbass, limitrophes de la Russie et russophiles.

Cet entrisme du bloc atlantiste en Ukraine a fait de ce territoire un potentiel, pour ne pas dire certain, lieu d’implantation de bases militaires de l’OTAN, sur un territoire directement limitrophe de la Russie et menaçant cette dernière directement. Cette volonté d’installation n’a pas été cachée par les Occidentaux.

Face à cette provocation, et pour secourir les Ukrainiens russophiles bombardés depuis dix ans par le pouvoir de Kiev, la Russie n’a pas eu d’autre option que de réagir militairement en pénétrant sur le terrain ukrainien. L’Ukraine est par ailleurs le berceau de la Russie avec l’instauration de la principauté de la Rus de Kiev de l’an 882 à l’an 1240. La Crimée était russe alors que Manhattan appartenait encore aux tribus Amérindiennes. Tous ces territoires sont d’essence et de culture russe depuis des siècles et personne ne saurait avoir la prétention de les soustraire à la Russie.

La Russie dans cette affaire n’est pas « l’agresseur » contrairement à ce que répète la propagande des perroquets médiatiques. Elle n’a fait que réagir légitimement à la malhonnêteté des Occidentaux. Et on doit d’ailleurs lui reconnaître d’avoir été d’une patience qui force le respect. L’Occident est le seul coupable de l’enchaînement des événements depuis la trahison des Accords de Minsk, dont même François Hollande a reconnu, certes maladroitement et à son corps défendant mais il l’a fait, que les Occidentaux avaient signé ces accords sans aucune intention de les respecter mais simplement pour gagner du temps, afin de baiser ultérieurement une Russie qui n’emmerdait personne.

Il serait bon que les indécis et les ignorants connaissent la vérité avant de s’engager inconsidérément derrière un chef d’État en France prêt à tout, y compris au pire, pour favoriser son image en politique intérieure à la veille d’élections européennes qui semblent s’annoncer comme un désaveu cuisant de la construction européenne dont les Français ont pu à la longue juger des méfaits, en matière d’immigration et de disparition des frontières, et en matière de mise à mort de nos agriculteurs.

De l’opinion publique

Il est avéré que les médias, dans les pays occidentaux, manient souvent le concept d’opinion internationale ou de conscience internationale. Le défaut inhérent à ces deux concepts tient d’abord au fait qu’ils ne sont pas définis d’un point de vue scientifique. Les médias fabriquent l’opinion en diffusant l’information qui façonne les représentations et les idées dont sont porteurs les acteurs autorisés à accéder à l’espace public médiatique. En France, il s’agit clairement d’une entreprise d’influence, d’orientation, d’endoctrinement du public œuvrant dans deux directions : sur les sujets internationaux et économiques, au service des intérêts du pouvoir ; sur les sujets sociaux, au service de la pensée gauchiste quasi-monopolistique dans la profession médiatique. Les médias produisent de l’opinion en diffusant des images, des discours, des représentations qui seront repris en majorité par ces réceptacles d’idée dominante (la fameuse « pensée prémâchée ») que sont la majorité des téléspectateurs, des auditeurs, ou même des lecteurs et des internautes. 

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Poutine avertit Schwab

Poutine avertit le « terroriste mondialiste » Klaus Schwab que ses « jours sont comptés ». Dans le contexte actuel, les médias systémiques se doivent de ne parler que d’Israël et de ses victimes, et de la situation à Gaza. Selon l’adage en vigueur, « no jews, no news ». En conséquence, nos médias complices et aux ordres du pouvoir français atlantiste et bruxellois ne délivrant qu’une information partiale et orientée, n’ont évidemment pas fait écho des récents propos de Vladimir Poutine, relatés par Dmitry Baxter pour The People Voice :

Le fondateur du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, est un « terroriste mondialiste » qui « rançonne l’humanité », selon le président russe Vladimir Poutine, qui a averti l’élite que son nouvel ordre mondial avait échoué et que ses « jours étaient comptés ».

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Palestine, Israël, et les Français

Un propos de Jonathan Sturel qu’il nous apparaît intéressant de publier…

En 7 petits points, une piqure de rappel à mes amis de droite que je vois jubiler depuis quelques jours devant le spectacle de Gaza en feu :

1 – Ce n’est pas parce qu’Israël tabasse les Palestiniens au Proche-Orient que cela vous autorisera un jour à tabasser les banlieues ici car :

2 – Ceux qui vous autorisent à jubiler devant la riposte israélienne (journalistes, élus, ministres, complexe médiatique) ne vous autoriseront JAMAIS à riposter à l’israélienne lorsque nous serons victimes à notre tour d’une vague d’attentats et de crimes ;

3 – Quand votre tour viendra de vouloir venger vos morts, la puissance verticale d’écrasement de l’État et de sa police viendra vous rappeler que les amalgames sont interdits et punis par la loi, que c’est à la justice de s’occuper des tueurs, et soyez certains que les mêmes politiques qui aujourd’hui vous laissent jubiler devant Gaza en feu mobiliseront police et justice contre vous lorsque vous vous imaginerez faire un seul petit pas vengeur en direction de Sarcelles.

4 – La riposte israélienne au terrorisme ne va pas créer un antécédent dont vous pourrez vous servir le jour où vous serez confrontés au terrorisme. La riposte israélienne est un cas d’école singulier, réservé uniquement à ce pays et interdit à tous les autres.

5 – Benyamin Netanyahou se fout totalement de vous et de votre soutien dont il n’a pas besoin. Il a enchaîné les erreurs politiques depuis des années, il sait que la société civile israélienne le sait, il sait qu’il devra rendre des comptes et en intensifiant la guerre à Gaza et en la prolongeant, il cherche aussi à repousser le moment où il devra rendre des comptes.

6 – Au fond, je pense que mes amis de droite qui jubilent actuellement devant le spectacle de Gaza en feu sont conscients de tout cela et qu’ils ne se font aucune illusion en réalité. Mais fatigués, frustrés, dépités devant le spectacle de leur incapacité à agir contre les barbus à cause d’un État français qui leur interdit toute réaction, ils cherchent ailleurs une réaction fantasmée par procuration, se mettent dans la peau des Israéliens pour essayer de chercher le frisson d’une action qu’on leur interdit tant qu’ils sont enfermés dans leur peau de Français.

7 – La puérilité excitée de votre attitude en ce moment révulse l’homme rationnel et civilisé que je suis mais je sais pourquoi vous en êtes là (point 6) et j’ai dû moi-même lutter contre la tentation de me laisser aller à ce fantasme de guerre par procuration tellement nous autres, Français envahis et réduits à l’impuissance, emmagasinons de la frustration depuis des années sur toutes ces questions d’islam, d’immigration, de menaces intérieures venues de l’extérieur, etc. Pour cette raison je vous pardonne vos légèretés mais je devais vous rappeler que tout ce qui se passe actuellement au Proche-Orient ne changera malheureusement rien à notre impuissance ici tant que nous n’aurons pas balayé les traîtres qui nous gouvernent.

Jonathan Sturel.

Est-ce que vous condamnez ?

Notre ligne est claire. Européens, attachés à notre identité historique et raciale, le conflit israélo-palestinien ne nous concerne pas. Il oppose sur des terres qui ne sont pas les nôtres les deux faces de la même médaille sémite dont nous rejetons la politique, la situation, et l’avenir qu’elle impose à nos pays submergés par une immigration tiers-mondiste afro-musulmane qui doit tout à l’activisme de l’intelligentsia juive ou pilotée par les idéaux universalistes juifs, chrétiens, athées cosmopolites communistes (monde politique juif ou « Gaulois » sous loi maçonnique, Licra* et toutes association gauchistes partisanes d’une immigration extra-européenne de masse qui est en train de défigurer notre identité et nos territoires). Ce conflit ne nous concerne pas, mais nous n’en sommes pas moins des esprits honnêtes, et sans prendre parti, nous savons reconnaitre que ce qui s’est passé en Palestine depuis 1947 a été émaillé d’anormalités et d’injustices à l’encontre des Palestiniens. Et nous savons également reconnaître que si l’extrême-gauche française internationaliste fait partie de nos ennemis mortels, de ces gens qui militent à l’installation sur nos terres de l’Afrique et de l’islam, religion qui nous a toujours été hostile, qui a dans sa doctrine et ses textes sacrés notre disparition ou notre conversion, cette extrême-gauche que nous haïssons est par ailleurs la seule à avoir une position honnête sur le conflit israélo-palestinien là-bas, sur la qualification de « terroriste ou pas »** des évènements qui viennent d’avoir lieu, contre l’unanimisme indécent du système politico-médiatique français.

Ceci étant posé, à tous les alignés, ça se passe bien votre petite guerre par procuration ? On dirait, oui. Vous êtes contents, rengorgés, satisfaits de baigner dans « l’arc républicain ». Que votre satisfaction d’être du « bon côté » se termine probablement par le nettoyage ethnique de deux millions de personnes à des milliers de kilomètres ne vous arrachera même pas un rictus de remord dans votre miroir. Vous êtes le « camp du Bien ».

Pourtant, vous devriez le savoir depuis tout ce temps, que chaque fois qu’il y a unanimisme médiatique et politique, une saloperie est en cours. Vous devriez savoir que le premier symptôme de la désinformation, c’est quand tout le monde dit la même chose.

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Jouer avec les Russes

Bismarck était un homme qui en savait beaucoup. En politique internationale, mais pas seulement. Le vieux chancelier de fer comprenait les hommes. Et il comprenait les peuples. Et il disait qu’il valait toujours mieux éviter de « jouer » avec les Russes. Même lorsque vous les voyez (ou les croyez) faibles. Car, tôt ou tard, les Russes reviennent en force. Et ils viennent pour reprendre tout ce qui leur appartient. Et pour les autres, c’est la souffrance. Alors, il vaut toujours mieux jouer la carte de la discrétion. Et le chancelier de conclure : maintenez l’accord.

C’est ce qui se passe aujourd’hui. La Russie, après l’effondrement de l’URSS, a connu une longue période de faiblesse. Elle était à terre. Son empire se désintégrait. À Moscou, avec Eltsine, des oligarques étaient au pouvoir qui ne pensaient qu’à piller le pays. Et à le vendre. Le peuple était littéralement affamé. Les gens mouraient dans les rues.

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