8 mai 1945

Il aura fallu trois Empires, le britannique, le soviétique et l’américain durant près de treize ans pour défaire et piller une nation plus petite que le Texas. Ils appellent ça une victoire.

Les Alliés devant la Porte de Brandebourg

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« Les époques suivantes se retourneront la bouche pleine de nausée sur celle-ci, où à la jeune femme de notre sang on préfère le violeur des terres accablées d’un mauvais soleil. » – Ange Appino

Claire GERONIMI, qui a courageusement médiatisé son agression, l’une des innombrables victimes de la politique infligée à la France, violée durant trente minutes sous la menace d’une lame dans le hall de son immeuble par un étranger Centrafricain sous OQTF non exécutée.

Relire notre article Une loi non écrite.

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Les Païens d’Europe sont depuis toujours des écologistes, parce qu’ils vivent bien souvent au contact de la Nature, au rythme et dans le respect des saisons, et sont reliés à sa force vitale, sans la nécessité malsaine de faire de l’écologie le vecteur d’une politique punitive ni un écran de fumée recyclant le gauchisme culturel et égalitaire. La Nature n’a que faire de l’égalité, elle l’ignore totalement.

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« Les deux mots qui reviennent sans doute le plus souvent dans les vieilles chroniques européennes ce sont ceux de volonté et d’honneur. L’espoir, par contre, n’a pas de sens. Ce qui compte, c’est d’accomplir ce qui doit être accompli et non pas ce qui doit aboutir à un succès.
Je retrouvais dans toute cette morale de l’antique Hyperborée un certain goût pour les causes désespérées. Une attitude de perpétuel défi, où le goût du risque s’exaltait jusqu’à dépasser toutes les limites du possible. Les guerriers spartiates de Léonidas aux Thermopyles restent, en ce sens, de purs Hyperboréens. Le bien s’identifie avec l’action d’éclat, qui prend une valeur en soi-même. Ce qui compte, ce n’est pas le plaisir, mais le devoir. Non pas la soumission à un autre que soi-même mais la liberté de s’imposer une conduite conforme à l’imprescriptible honneur de sa lignée et de son clan. »

Jean Mabire
Thulé : le soleil retrouvé des Hyperboréens, éditions Robert Laffont, 1977