Les belles méthodes des associations d’aide aux migrants

Le discours gauchiste établi n’a pas de mots assez élogieux pour qualifier les « Associations » d’aide à la submersion migratoire. Derrière ce décor de façade humaniste, il faut connaître et dénoncer la réalité de leurs pratiques. Pauline Condomines, reporter chez Livre Noir, a infiltré ces associations et exposé leur fonctionnement. Associations qui comme on le sait disposent d’argent public. Elle a constaté comment elles instrumentalisaient les immigrés à des fins de militantisme politique. Cas d’école avec une association du XXe arrondissement de Paris :

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Au pays de la diversité radieuse

Dans les années 1980, sous l’influence empoisonnée de socialistes, il devint à la mode de vanter les bienfaits du métissage culturel. Les Français devaient avoir tout lieu de se réjouir que leur pays soit « enrichi » par des langues, des cultures, des traditions, des religions, des coutumes venues d’ailleurs. Et une majorité de millions d’abrutis, la cervelle rendue perméable à cette propagande par une espèce de sida mental, a commencé à adhérer à cette idée du métissage bienfaisant. Ce discours, fort bien reçu dans une certaine « élite », ne pouvait qu’engendrer des craintes et des crispations chez tous ceux encore dotés d’un cerveau normalement constitué. Pour les contemporains du moment, ce discours semblait dévaloriser à la fois le modèle national et l’attachement qu’on lui portait ; il paraissait surtout annoncer sa remise en cause radicale. La France ne serait plus la France. Nous en avons aujourd’hui la certitude.

Plutôt que de dédaigner, voire de mépriser ce qu’avait été jusque-là le conservatisme de tous les Français, il eût été plus sage d’en comprendre les raisons et de ne pas réduire cet attachement à un refus de l’étranger. La France était, nous sommes aujourd’hui obligés de rédiger à la troisième personne de l’imparfait, d’abord peuplée de Français qui trouvaient leur identité dans un certain « art de vivre ». Était-ce condamnable ? Et pourquoi ? Les gens qui éprouvaient ces craintes à l’époque tout comme ceux qui les éprouvent aujourd’hui savaient aussi bien que les « intellectuels » goûter les charmes des cultures différentes, mais il ne faut pas tout confondre : faire un repas chinois ou marocain, recevoir des étrangers de passage, écouter de la musique africaine ou bien aller passer des vacances au Portugal, ce sont des plaisirs ; avoir le sentiment, et aujourd’hui la certitude, de n’être plus chez soi, c’est un effroyable malaise.

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Le combat antiraciste a des bases faussées

Que nous disent du racisme les antiracistes ? Qu’il faut se prononcer « contre », et cette condamnation doit s’affirmer, elle ne saurait être implicite, car il n’y a pas d’horreur plus intolérable ni de cause plus juste. Que notre mémoire historique l’associe à la violence la plus extrême comme à la contre-violence la plus légitime : traite des Noirs et Holocauste d’une part, guerre de Sécession et Deuxième Guerre mondiale de l’autre, et qu’il s’agit de deux situations aveuglantes de clarté, le Bien face au Mal et le juste combat du premier contre le second, et que cela en a fait le symbole du mal absolu. En fait, quand la réalité prend ce visage manichéen, nul ne doit hésiter à choisir son camp : la neutralité devient criminelle.

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On sait tout depuis quarante ans

Après que Christophe Guilluy ait fait le constat de La France périphérique, après que la situation des agriculteurs délaissés, ignorés, en train de crever, ait sauté au visage des Français en ce début d’année, et après la visite d’Emmanuel Macron à Marseille ce 19 mars 2024, il est intéressant de relire ce que publiait le journaliste François de Closets en 1990 dans La Grande Manip (éditions du Seuil). L’intéressé, bien installé dans le paysage audiovisuel français, n’aime pas Jean-Marie Le Pen et il le fait savoir, il regrette la progression du Front national. Il n’en convient pas mois que le « Menhir » dit la vérité avant les autres. Retenez bien la date d’édition des extraits qui suivent tout au long de leur lecture. François de Closets constatait : 

« Dix ans de démagogie ont provoqué des ravages peut-être irréparables. Dans la société elle-même, le problème de l’immigration, jamais reconnu et jamais traité, s’est infecté jusqu’à devenir une véritable pathologie. Inutile de se cacher derrière des images pieuses ou de se récrier au spectacle d’une obscénité : la France est désormais malade de ses étrangers. » … 

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Du berceau au tombeau, dans le bain républicain

On ne dira jamais assez le mal qu’aura fait Rousseau à la France en pavant la voie sur laquelle nous sommes encore menés aujourd’hui. 

La Révolution française, dans sa démarche de limitation puis d’anéantissement du rôle de l’Eglise, a fait via Robespierre la promotion de la religion laïcarde artificielle de l’Être Suprême, entité divine adoptée par la franc-maçonnerie, dont le « delta lumineux » se trouve au sommet de la Déclaration des droits de l’homme de 1789. 

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Mort sur commande

C’est clairement identifié, la transformation de la France, de l’Europe, en société mondialiste démarre après 1945, avec le Plan Marshall, opération perfide consistant en l’octroi de prêts financiers en contrepartie de l’abandon des identités nationales pour adopter le consumérisme de l’american way of life et son corps social multiracial, société bâtie par les idéaux maçonniques il ne faut cesser de le dire et de le dénoncer. Les mêmes causes produisant toujours les mêmes conséquences, on voit aujourd’hui le résultat ici de cette entreprise de destruction de ce qui avait été l’identité de nos pays. Nicolas Bonnal a récemment évoqué cela par un article intitulé La destruction de Paris sur ordre américain, et surtout à travers l’extrait qu’il donne du sociologue Armand Mattelart dans son livre L’utopie planétaire. Nous insistons particulièrement sur le contenu de cet extrait, éloquent sur les raisons et la façon de cette mise en œuvre. C’est à ce projet de félons clairement annoncé (ses mentions en caractères gras) qu’ont adhéré tous les politiques qui ont agi après le Général de Gaulle. Mattelart y évoque la musique rock. Toutes les générations de jeunes qui ont été séduits par le rock (un genre musical qui a indéniablement produit des œuvres de grande qualité) sans être en capacité de connaître, de comprendre qu’il s’agissait d’un plan sciemment mis en œuvre porteur d’une idéologie, ont de façon inconsciente, malgré eux, participé à cette entreprise de destruction patiemment appliquée au long cours, entreprise accompagnée d’une expérimentation sociétale à grande échelle sur le phénomène hippie, la contre-culture et la consommation de drogues, comme celle du Festival de Woodstock financé, c’est désormais chose connue, par la CIA. Il va de soi qu’une telle agence n’organise pas quelque chose de cet ordre parce que son directeur est fan du genre musical en question, mais parce que cela répondait à un projet d’ingénierie sociale. Le rock est une musique construite sur le blues, musique noire donc, et sur l’utilisation de la gamme pentatonique mineure. Il a suivi le Jazz, lui aussi musique noire, introduit par les Américains à l’occasion de la guerre de 1914-1918, premier pied dans la porte des cultures européennes. Il est également éclairant de constater comment ensuite le rock a été sabordé volontairement par le pouvoir politique avec la complicité des acteurs de l’industrie musicale, producteurs et diffuseurs, au profit du rap. Ce dernier n’est logiquement que l’étage suivant, pour ce qui est du domaine musical, de la fusée imposant l’africanisation des sociétés occidentales dans le prolongement de ce qui se déroule depuis Mai 68. Mais il est temps de laisser la parole à Nicolas Bonnal.

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Vivre-ensemble et violence

Le « vivre ensemble » est simplement l’application de deux refus :

1° le refus idiot du comportement naturel des hommes, bien connu puisque constaté de toute éternité : « Qui se ressemble s’assemble ». Refus logique avec la pensée gauchiste dont il émane puisque celle-ci refuse l’ordre naturel, a toujours nié le réel et prétend lui substituer sa propre fabrication militante.

2° le refus de l’adage qui a toujours eu cours dans les relations entre un pays d’accueil et un étranger à ce pays : « A Rome fais comme les romains ». Principe élémentaire de respect et de reconnaissance que l’on doit à l’accueillant. Principe volontairement sabordé par l’ouverture à une immigration de masse à laquelle la gouvernance a tenu ce discours, « Vivez chez nous comme vous vivez dans vos pays », nous y reviendrons ci-après.

Il se caractérise aussi par le fait qu’il est la seule religion dont les adorateurs forcent les non-croyants à pratiquer à leur place.

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De la « discrimination positive »

Avec son opération visant à nommer à la tête des institutions culturelles des gens arbitrairement choisis sur des critères raciaux extra-européens, l’actuel ministre de la Culture français Rima Abdul Malak vient de lancer l’étape à ce jour la plus avancée et ouvertement exprimée de la politique de « discrimination positive ». L’intéressée va jusqu’à avoir l’audace de nommer son opération du titre « La Relève », bel euphémisme clairement chargé du sens réel de « remplacement », dont elle rêve manifestement pour la France à l’instar de son patron élyséen, ne tournons pas autour du pot. Faisons un rappel historique et de contenu sur la « discrimination positive ».

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L’insupportable business des associations d’aide aux « migrants »

Les médias et les réseaux sociaux évoquaient récemment la liste des associations d’aide aux « migrants » en France recevant les plus grosses subventions de l’État. Il est important de préciser d’emblée que ces associations sont au nombre de mille cinq cents. Ce nombre imposant d’associations immigrationnistes pose deux choses, d’abord que la gouvernance a fait au fil des années, discrètement dans le dos des Français, sans tambours ni trompettes, de l’aide à l’immigration une véritable industrie répondant effectivement et indiscutablement à une volonté de submersion extra-européenne, de transformation radicale du corps social français construit jusqu’à imaginer le regroupement familial de 1976, pour en faire un melting-pot à l’anglo-américaine irrespirable qui aboutira à un Grand Remplacement au cours de ce siècle, un plan de scélérats à propos duquel on ne cesse de s’interroger sur l’inertie des Français ; ensuite, l’importance des sommes versées à ce Top 20 laisse supposer l’ampleur de ce que coûtent la totalité de ces associations militantes réparties sur tout le territoire, bénéficiant par ailleurs de multi-financements, et acharnées à la dénaturation suicidaire du pays. Les chiffres concernant l’année 2022 montrent que l’entreprise est dans ses proportions une abomination absolue.

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Le multiculturalisme, outil de division pour mieux régner

Aucune nation ne naît multiculturelle. Le multiculturalisme est une situation artificielle autant que malsaine qui ne peut affecter que les États en déclin général. Un État multiculturel porte au plus profond de lui les germes d’une future destruction nationale.

Toutes les nations multiculturelles aboutiront à un état de délabrement politique, moral, économique et social. L’avidité et la corruption caractériseront le gouvernement ainsi que les mesures oppressives dirigées contre les citoyens. Le mensonge et la tromperie seront le fonds de commerce des médias, des politiciens et des institutions éducatives. Tels sont les indicateurs de l’avènement du multiculturalisme.

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