Occident dégénéré

La haine de l’Occident envers la Russie trouve sa source dans le rejet par Vladimir Poutine des dérives sociétales occidentales, défendant farouchement les valeurs traditionnelles.

Son crime aux yeux de l’Occident ? S’opposer à la propagation de la décadence qui a pris racine à l’Ouest depuis son accession au pouvoir en 2000.

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Quand Yann Barthès n’est plus dans sa « zone de confort » de plateau télé…

Ce type qui, il n’y a pas si longtemps, était réputé incarner la jeunesse moderne, la coolitude branchée et l’humanité à l’aise avec son époque est aujourd’hui une semi épave fatiguée, quasiment un punk à chiens.

Il suit le même parcours que Renaud et c’est normal : ces gens ont soutenu politiquement et idéologiquement des idées, des options et des solutions qui ont amené le chaos social, l’insécurité, les déséquilibres systémiques et c’est tout naturellement que le monde tel qu’il est devenu à cause d’eux leur inflige cette gueule de bois carabinée qui les transforme physiquement.

Leur idéologie ? Jouir sans entrave, retarder le moment où l’on prend ses responsabilités d’adulte, nier les verticalités et donc se retrouver sans repères et sans balises pour avancer dans la vie, applaudir le laid et le sale, snober le Beau et le Grand et se retrouver à cause de cela incapable de ne plus rien comprendre aux sens primordiaux des choses.

Ils arrivent à 35, 40, 45 ans, sans situation familiale et conscients que leur passage sur la terre n’aura rien bâti. Ils découvrent, trop tard, qu’aucun enfant ne viendra s’incliner devant leur tombe après leur mort. Cette solitude crée un néant qui rend fou, qui désole et déprime et ils doivent composer avec ça, avec cet immense sentiment de gâchis.

J’écoute parfois mélancoliquement la chanson « Hier encore » de Charles Aznavour, elle dit tout.

Ces gens ont voulu le néant, la fin de tous les ordres, ils ont réclamé qu’on les laisse papillonner et croire que le monde se porterait mieux si les Yann Barthès étaient laissés libres de rester ados toute leur vie. Ils pleurent aujourd’hui, intérieurement, ce néant qu’est leur existence sans foi, sans espérance et sans lendemain.

Le réveil est difficile et comme ils ne peuvent pas l’admettre publiquement par fierté car cela reviendrait à confesser toutes leurs fautes, ils s’enferment dans le déni et continuent sur la même voie délétère et suicidaire, quitte à devenir des zombis, car continuer de s’aveugler est une façon de ne rien assumer du désastre que l’on a semé pour soi et pour les autres. Franchement, qui a envie de ressembler à Yann Barthès ? Qui a envie d’offrir à ses enfants une vie et un avenir qui conduisent à finir comme ça ? Merci Yann d’être ce que tu es : une publicité ambulante contre le gauchisme. Tu es triste, tu le sais, et tes millions gagnés en exploitant le désastre n’y feront rien.

Jonathan Sturel

Yann Barthès le 27 mars 2024 devant la commission parlementaire, incapable de s’exprimer sans ses fiches, pantin gauchiste militant d’une émission artificielle, en mode « clodo », bien loin de son look à l’écran tiré à quatre épingles, puérile manœuvre pour tenter d’amadouer les députés ?… Une allure de crasseux tiré du lit, caractéristique de l’esprit zadiste, d’un Cédric Herrou, cette allure de négligé, de débraillé, de vulgarité, déjà cultivée par les citoyens révolutionnaires de 1789 en opposition au monde qu’ils voulaient effacer.

Ils se sont attaqués à l’identité sexuée des enfants !

C’est une révolution très étrange qui s’est abattue sur le monde occidental depuis quelques années : cette idée selon laquelle l’identité sexuée de l’individu serait optionnelle, que les jeunes sont invités à choisir leur genre, qu’ils sont même invités à connaître s’ils le souhaitent une série de modifications corporelles, hormonales, chirurgicales, pour changer visiblement leur sexe, leur identité de genre, et que tout cela va de soi. Et si l’on n’est pas d’accord, c’est que nous sommes « transphobes ». Or, l’interrogation émerge enfin partout en Europe occidentale : dans quoi nous sommes-nous perdus ? quelle hallucination a été capable d’amener certains à traiter leurs enfants comme les cobayes d’une opération qui à l’échelle de l’histoire relève de la fabrique de « l’Homme nouveau » ?

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Féminisation des mots

A la rubrique de la nécessaire dénonciation des fossoyeurs de la France, il faut parler un instant de Bernard Cerquiglini, le génial inventeur du saccage qu’est la féminisation du vocabulaire et dont le nom doit rentrer dans l’Histoire. L’homme est ex-directeur de l’ex-l’INaLF (Institut National de la Langue Française – une annexe du CNRS). Il servit de caution à Lionel Jospin pour passer outre aux avis de l’Académie française et imposer la féminisation des noms de professions et de fonctions. Il est l’artisan de la nomenclature délirante qui implique désormais de parler de ces insupportables « docteure », « professeure », « sapeuse-pompière », « préfète », « auteure », etc.

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Destruction de la langue

Nous sommes tombés sur la liste des terminaisons, pronoms et articles « gender neutral », tirée du premier fanzine Gender Fluid de Bye Bye Binary, collectif franco-belge de militants de l’écriture « inclusive ». Nous ne résistons pas à la nécessité de montrer ci-après l’ampleur du délire dans lequel baignent ces crétins jouant à se prendre pour des linguistes en réinventant l’orthographe, aboutissant à une véritable chiasse dont certaines terminaisons nous évoquent l’univers du nadsat, cet argot anglo-russe aux mots idiots et phonétiquement déplaisants inventé par Anthony Burgess pour son roman L’Orange mécanique, tel qu’on l’entend dans le film de Stanley Kubrick. Il est proprement hallucinant que des gens, dans le domaine politique et universitaire, puissent accorder un soutien ou le moindre intérêt à ce saccage, de la langue française en l’occurrence, sauf à être un de ces enragés investis dans la destruction de la normalité établie par des siècles d’usage. Ces tarés doivent être combattus avec la plus grande énergie, il en va de la structuration mentale des générations futures.

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