Les belles méthodes des associations d’aide aux migrants

Le discours gauchiste établi n’a pas de mots assez élogieux pour qualifier les « Associations » d’aide à la submersion migratoire. Derrière ce décor de façade humaniste, il faut connaître et dénoncer la réalité de leurs pratiques. Pauline Condomines, reporter chez Livre Noir, a infiltré ces associations et exposé leur fonctionnement. Associations qui comme on le sait disposent d’argent public. Elle a constaté comment elles instrumentalisaient les immigrés à des fins de militantisme politique. Cas d’école avec une association du XXe arrondissement de Paris :

Les postulants se présentant pour bénéficier de l’aide de l’association étant nombreux et ses moyens limités, comment sélectionner ceux qui seront les heureux élus ? Un fichier est mis en place pour transformer les migrants en militants pour la cause. Ceux qui acceptent de participer à des manifestations, à des événements, à une soirée qui permette de faire de l’activisme au bénéfice de l’association, verront leurs dossiers favorisés dans les rapports avec les autorités. Nos gauchistes ne perdent pas le Nord, et jouent de façon assez cynique au « donnant-donnant », « on va vous aider à condition que vous nous serviez. C’est un tri militant qui s’opère. Pour ce faire, ils sont fichés, de façon à savoir très précisément, qui, de quelle manière, à quel moment, sous quelle condition, a servi ou n’a pas servi. On peut ainsi les conscrire dans des manifestations contre divers sujets, contre des lois, des partis, des revues, des médias… 

On est loin de l’action gracieuse de ces « belles âmes », qui en réalité sont moins intéressées par cette chair à canon immigrée que le projet de subversion politique de l’Occident qui est leur véritable combat. Mamadou est un moyen, la Révolution rouge l’objectif. Derrière le « spontanéisme militant » dont on nous parle si souvent, on est en réalité dans la prise en charge par des structures en lutte contre l’État qui les subventionne, et qui mobilisent les populations étrangères à la manière de supplétifs. C’est le nouveau visage des troupes coloniales utilisées par l’extrême-gauche.

L’État finance donc des associations qui travaillent à déconstruire le pouvoir de l’État. Pays de cinglés. Mais il y a aussi du financement privé étranger là-dessous. Et à ce titre, on peut donc considérer que les activistes « Gaulois »* de ces associations françaises sont des agents de l’étranger. Associations qui fonctionnent de façon nébuleuse, dont il faudra exposer le dispositif de pouvoir qui s’est mis en place. Des accords passés discrètement leur donnent accès aux préfectures, des accords avec une partie de l’État, avec des juristes, pour retourner et mobiliser l’État contre la nation, associations qui mobilisent l’argent des Français contre les Français.

*dire Français ne veut plus rien dire, cette nationalité étant détenue par n’importe qui d’extra-européen.