Paroles d’or

Pour l’esprit faisant preuve d’honnêteté intellectuelle, ce qui compte n’est pas que des propos tenus le soient par des personnages condamnés, méprisés, moqués, diabolisés par la pensée unique obligatoire, la seule chose qui compte est de savoir si ces propos correspondent à la réalité observée. Si c’est le cas, la diabolisation apparait pour ce qu’elle était, une tromperie, et elle s’effondre instantanément.

Anonymes – « Je n’ai aucune envie de m’intégrer. Je n’ai pas l’intention de marcher avec la foule des conformes et des couchés face au Système mondialiste. J’ai mon esprit, mon cœur et mon âme. Je suis MOI et il m’a fallu des années pour réaliser à quel point c’est important. Ne suivez pas la foule. Suivre la foule est le moyen le plus simple de se perdre. Pour gagner dans cette matrice, vous devez choisir, même s’il est difficile, le chemin le moins emprunté, celui des réprouvés par la pensée unique obligatoire. La foule fait partie du piège. »

« L’aboutissement de la tolérance est la dégénérescence. C’est pourquoi l’homme traditionnel a le devoir de se montrer intolérant. »

« Le Polythéisme est l’ultime retour à la maison. Même dans les cercles nationalistes, des gens se complaisent spirituellement dans le marxisme culturel, soit en ne croyant en rien, soit en s’engageant dans le néo-occultisme (syncrétisme judaïque), soit en gardant le christianisme dans leur vie. Une fois que vous vous connectez aux Ancêtres et aux Dieux et que vous êtes sérieux à ce sujet, tout commence à bien se dérouler et vous vous retrouvez sur une meilleure voie. »

« Faire revivre le paganisme, ce n’est pas copier le passé mais dialoguer avec lui. Nous ne jouons pas aux Vikings ou aux Athéniens !. Nous essayons de nous connecter à nos racines, à ce que nous sommes profondément. Il ne s’agit pas d’adorer des cendres, mais d’entretenir la flamme.« 

« Vous devez être fort. Il existe de nombreuses façons d’être fort, physiquement, mentalement et spirituellement. Votre corps doit être fort si vous voulez être confiant et ferme. Votre esprit doit être fort, capable d’apprendre, concentré et clair, sûr de la justesse de notre cause. Votre esprit doit être fort, d’une volonté inébranlable, ferme dans la justesse de notre lutte. Vous devez être de l’acier, pas de la paille. »

« Le plus grand cadeau que nous puissions offrir à nos enfants est un sentiment d’identité, d’appartenance, le fait qu’ils font partie de quelque chose de merveilleux et de beau, que cela les traverse, continue avec eux et sera toujours avec eux afin qu’il n’y ait jamais un vide qu’ils voudront remplir de laideur. »

« Islam en France, il va falloir que vous choisissiez : soumission – conversion – guerre et remigration. »

« Tous ces blancs idiots, ces whiggers à plat-ventre dans le wokisme et devant l’activisme « black » s’imaginent qu’il suffit de renier le passé d’où l’on est sorti pour devenir un homme de l’Avenir. Ils prennent leurs trahisons pour des renaissances. »

« Le lavage de cerveau le plus efficace consiste à implanter certaines idées et réponses standard, telles des chevaux de Trois mentaux, dans l’esprit au moment où l’on commence à comprendre le monde mais que l’on est encore naïf et ignorant. A part quelques individus ayant des expériences particulières, qui lisent largement et aiment réfléchir, la plupart des gens passent leur vie avec ces virus mentaux. »

« La véritable dissidence est l’initiative et la capacité de renonciation contre l’imposition des conceptions et des doctrines illusoires de la modernité, c’est une force provenant de l’âme avec l’impulsion de nager contre le courant dévastateur qui entraîne l’humanité vers l’abîme. La véritable dissidence est l’insurrection spirituelle. »

« Tout homme de noble esprit aspire à construire un héritage et à surpasser la loi transitoire de la vie : avoir un but, c’est sentir que son temps est utilisé pour la création de quelque chose d’élevé. Seul un individu frivole se contenterait de voir son temps gaspillé alors que sa vie s’écoule lentement sans développer ni concrétiser aucun idéal supérieur. »

« Il n’existe pas de vie sans le concept de création et de destruction. Dans la modernité, la laideur se répand comme la plus sordide des maladies pernicieuses, son symptôme le plus perceptible est la complète infertilité de l’esprit ; la corruption de l’âme consume la civilisation comme le plus sale des cancers. »

« La société moderne n’isole plus que deux catégories : les vendus et les invendables. »

« Si vous pensez que la religion de vos ancêtres était « mauvaise », alors votre carte d’homme blanc est révoquée. Mettez vos priorités au clair, homme blanc. Soit vous êtes un païen homme du peuple, soit vous êtes une espèce en voie de disparition. »

Gabriele Adinolfi – « Nous vivons englués dans une époque horrible, qui uniformise au nom du totalitarisme soft, qui chloroformise, qui émascule et enlève tout élan vital, comme probablement cela n’était jamais arrivé par le passé. Spirituellement, il s’agit d’une civilisation aux traits homosexuels, eunuques (…) Toute l’idéologie dont on nous abreuve est celle de la renonciation : « Mais à quoi bon ? » « On ne peut combattre les puissants » « Les temps ont changé », etc… (…) L’alternative, la seule alternative radicale, réside dans la virilité spirituelle, dans cette voie pleine de périls et fascinante qui, s’il est vrai qu’elle conduit souvent à la grandeur et donc à une perdition épique, dans les meilleurs cas parvient à l’héroïsme : la voie guerrière. Pour lever toute équivoque ou toute interprétation distordue, fallacieuse ou de mauvaise foi, la voie guerrière ne signifie pas la voie de l’agression armée parce que, comme nous l’enseigne la tradition virile orientale, le guerrier est celui qui n’a pas besoin de dégainer parce qu’il est l’épée. L’alternative, la seule alternative sensée et possible, consiste dans le refus de l’entière imposition du langage social qui est tenu aujourd’hui, elle consiste dans l’affirmation de soi au moyen de la renonciation opposée à celle que l’on nous prêche journellement et que l’on nous impose, à savoir non pas la renonciation à la lutte mais celle aux honneurs, aux séductions faciles, aux surabondances inutiles et vides. »

Jean Anouilh – « C’est en étant capable de mourir pour une chose incompréhensible au plus grand nombre, qu’une petite race d’hommes a réussi, pendant des siècles, à se faire respecter du troupeau. »

Jose Luis Antonaya – « Les paroles de l’ennemi sont, comme lui, sourdes, hypocrites, ambiguës et venimeuses. Les nôtres sont claires, belles, véhémentes et joyeuses dans leur fermeté. Les paroles de l’ennemi sont le râle d’une civilisation empoisonnée et mourante. Les nôtres sont des slogans poétiques de combat pour une renaissance future et lumineuse. L’ennemi parle avec des euphémismes lâches et malveillants. Son babillage médiocre, plein de niaiseries pédantes, sonne à nos oreilles comme un vent puant et agaçant. Quand l’ennemi parle de « migrant », « éco-durable », « inclusif », « mondialisation » ou « multiculturel », nous svons qu’il parle en réalité d’« invasion », d’« arnaque », de « dictature » et de « génocide ». Aux paroles sombres et venimeuses de l’ennemi nous opposons les paroles d’espoir, de combat et de beauté. Quand il dit « sécessionnisme », nous répondons « Patrie ». Quand il dit « constitutionnel », nous répondons « national ». Quand il dit « marchés », nous répondons « Justice ». Quand il dit « virus » ou « climat », nous répondons « liberté ». Quand il dit « tolérance » ou « tranquillité », nous répondons « Révolution ». »

Robert Ardrey (La Loi naturelle) – « Je crois que l’ensemble des faits connus vient à l’appui de l’idée que la xénophobie animale est un facteur de la vie de toutes les sociétés organisées, et que la société ouverte n’existe certainement pas dans la famille des primates. L’étranger est nécessaire et l’antagonisme à son égard a une base biologique incontestable. L’hostilité offre la garantie que le groupe ne sera constitué que de familiers ; elle unit ce groupe par le processus que j’ai appelé « complexe amitié-inimitié ». Si une société animale est fondée sur un territoire, la défense commune de ce territoire contre l’intrusion d’un étranger non seulement exalte l’énergie mais entraîne confiance et sacrifice communs, de même qu’un groupe humain défendant sa patrie a rarement des difficultés avec son contrat social. »

Aristote – « La colère est nécessaire. On ne triomphe de rien sans elle, si elle ne remplit pas l’âme, si elle n’échauffe le cœur. Elle doit donc nous servir, non comme un chef, mais comme un soldat. »

« La tolérance et l’apathie sont les dernières vertus d’une société mourante. »

Maurice Bardèche – « Ce qu’on cherche à émouvoir en nous, ce n’est pas ce qui est noble, généreux, viril, ce sont au contraire nos nerfs, nos pleurnicheries, notre crédulité, notre niaiserie. Nous sommes tout heureux d’être si bons, si émus, si touchés aux entrailles que nous ne percevons pas que le flux de ces bons sentiments a fini par donner à presque tous les peuples d’Occident une sensibilité et une tournure d’esprit typiquement féminines. Devenus des réceptacles d’une pensée étrangère, nous sommes à la fois ouverts, disponibles, tendres, et en même temps dévirilisés, sans ressort, sans personnalité, et nous nous laissons souiller de toutes les immondices dont il est utile, à quelque moment, de nous remplir. » (Sparte et les Sudistes)

« Nous avions l’impression qu’une humanité inférieure s’était arrogé le pouvoir parmi les hommes […]. Nous détestions cette intrusion dans nos âmes par mille canaux qui diffusaient une nourriture abjecte […]. Le monde mercantile nous habillait de force par ses guenilles. Insensiblement, les hommes s’engourdissaient sous l’effet de ce poison répandu en musique, ils devenaient ce qu’on leur disait d’être. Nous avions l’impression de vivre dans un pays occupé […]. » (Sparte et les Sudistes)

« Les hommes se reconnaissent moins à leurs idées qu’à leur attitude devant la vie. […] Chacun de nous répondra à lui-même de ce qu’il aura été. Ceux qui ne veulent pas vivre, nous ne pouvons pas les forcer à regarder le soleil en face. Mais les autres, qu’ils puissent se dire qu’ils ont été des hommes. » (Sparte et les Sudistes)

« La pensée étrangère a fait sur nous en tant que Nation ce que l’invasion n’avait jamais réussi ; l’infiltration est en train de faire de nous un peuple sans visage, une race nouvelle interchangeable, incolore, insipide, matière première idéale pour un gouvernement mondial de conquérants sans gloire, sans nom et sans patrie. » (Les Temps modernes – 1956)

« Nous en sommes arrivés, sans nous en rendre compte, à un régime où il n’est pas permis de penser incorrectement, et où il n’est pas permis non plus de vivre incorrectement. Comme le marxisme, la démocratie tient qu’il existe une vérité morale parce qu’elle croit comme le marxisme à un progrès de l’humanité et par conséquent à un sens de l’histoire. »

« Les démocraties ne mettent pas d’autre limite à la liberté que l’interdiction de nuire à autrui. Elles ont mis peu de temps à découvrir que, sans nuire à autrui, on pouvait nuire au gouvernement : et leurs codes fourmillent de délits politiques. Mais elles n’ont jamais consenti à reconnaître que, sans nuire à autrui individuellement, on pouvait nuire à la nation tout entière par l’abus de la liberté. Le fascisme oppose à cette conception anarchique de la liberté une conception sociale de la liberté. Il ne permet pas ce qui nuit à la nation. Il permet tout le reste. Il est faux de croire qu’il est dans l’esprit du fascisme de limiter la liberté individuelle ou la liberté de pensée. Rien n’est changé à la vie de chaque jour quand un pays devient fasciste : contrairement à la phrase fameuse, quand on sonne à sept heures, c’est le coup de sonnette du laitier. Mais le fascisme ne permet pas à quelques-uns de se tailler des empires en s’emparant de l’esprit des niais. Le public n’est pas un étang où l’on peut pêcher toute l’année et où ses flibustiers bien équipés ont le droit de ramener des fortunes dans leur nasse. Chacun peut penser ce qu’il veut et le dire. Mais le détournement des volontés doit être puni dans un pays bien policé au même titre que les vols d’électricité. Il n’est pas raisonnable que les lois protègent nos lapins et ne protègent pas nos cervelles. La liberté anarchique des démocraties n’a pas seulement permis le détournement de la volonté populaire et son exploitation au profit d’intérêts privés, elle a eu un résultat plus grave encore. Elle nous a fait une vie ouverte de toutes parts à toutes les inondations, à tous les miasmes, à tous les vents fétides, sans digue contre la décadence, l’expropriation et surtout la médiocrité. » (Qu’est-ce que le fascisme ? – 1961.)

« Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l’homme et de la création. Je crois à l’inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l’hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d’autres hiérarchies que celle de l’argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner c’est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré. »

« Je crois en l’homme blanc, non parce qu’il a créé les machines et les banques, mais parce qu’il a proclamé que le courage et la loyauté étaient les plus grandes qualités de l’homme. Tout ce qui favorise et exalte les qualités viriles et chevaleresques de l’homme s’appelle civilisation ; tout ce qui les dégrade et les ravale s’appelle décadence. Tout homme, tout événement, toute situation qui aide l’homme d’Occident à être le juge entre les hommes est bon. Tout homme, tout événement, toute situation qui diminuent le pouvoir de l’homme d’Occident est un malheur. De ces principes, les esprits logiques ont pu tirer les conséquences humaines. La défaite de l’Allemagne en 1945 est la plus grande catastrophe des temps modernes. L’abandon volontaire de la moitié de l’Europe à un pharaonisme asiatique fondé sur l’esclavage et la terreur est un crime politique. L’institution de la dissidence et de la rébellion comme principes de la légitimité politique ne peuvent amener dans l’avenir que d’autres dissidences et d’autres rébellions. La campagne systématique de calomnies et de haine contre l’énergie, la discipline, le désintéressement est un attentat contre les valeurs les plus précieuses de la civilisation d’Occident. L’exaltation systématique des races étrangères à l’esprit de la civilisation occidentale et la prétention de leur confier un rôle important dans la politique mondiale est un danger grave pour l’Occident et en même temps pour ces races mêmes qui sont incapables d’assumer le rôle qu’on leur destine. »

David Barney – « L’influence des négateurs de la mémoire est à l’origine directe de la dégradation de l’enseignement de l’histoire. Il s’agit toujours, en effet, de masquer les origines. Il s’agit de faire oublier que l’homme naît d’abord comme héritier, et qu’il lui appartient d’assumer et de renouveler cet héritage. Il s’agit de faire croire aux Européens qu’ils n’ont vraiment commencé à exister qu’avec la conquête romaine ou la colonisation chrétienne, qu’ils sont les descendants spirituels d’Abraham, qu’avant d’être soumis à la férule des valeurs bibliques, ils n’étaient que des sauvages, des barbares. »

Alain de Benoist – « […] le choix doit se porter sur le camp qui, dans la pratique, est objectivement le moins favorable à l’universalisme, à l’égalitarisme et au cosmopolitisme. […] L’ennemi principal, pour nous, sera donc le libéralisme bourgeois et l’“Occident” atlantico-américain, dont la sociale-démocratie européenne n’est que l’un des plus dangereux succédanés. » (Orientations pour des années décisives – 1982)

« Mais le terme même d’«Occident» a perdu aujourd’hui sa signification traditionnelle. Il ne désigne plus une culture historique héritée, mais un mode de vie fondé sur le mythe de la «croissance», l’obsession de la consommation et le primat des valeurs marchandes. L’«Occident» n’est plus, hors de toute autre référence, que l’ensemble des pays développés, c’est-à-dire des pays dont la structure économique se révèle comme la plus productive. En dernière analyse, le «monde libre» n’est plus rien d’autre qu’une société économique, où la servitude à la quantité est posée comme synonyme de la «liberté». Comment l’Europe, dans la mesure où elle veut encore avoir une histoire, une culture, un destin, pourrait-elle accepter de n’être qu’une partie de cet «Occident ? »

« La religion s’est constituée au carrefour de trois grandes fonctions : comme explication générale du monde, comme compréhension de la nature de l’homme, comme lieu d’expression du sacré. Les sciences physiques ont pris le relais dans le premier domaine, les sciences humaines dans le second. Il reste le sacré, pour lequel personne n’est preneur. C’est là qu’il faut rebâtir. »

« L’ennemi principal, pour nous, est le libéralisme bourgeois et l’Occident atlantico-américain, dont la sociale-démocratie européenne n’est que l’un des plus dangereux succédanés. » — Orientations pour des années décisives (1982)

« L’opposition entre chrétiens et païens ne se réduit évidemment pas au nombre des dieux. Le paganisme est d’abord une religion de la cité (les Grecs rendaient un culte à des dieux grecs). C’est ensuite une religion du kosmos et de la vie, où l’éthique et l’esthétique n’entrent jamais en opposition. Le paganisme, c’est l’éthique de l’honneur, pas la morale du péché. C’est la condamnation de la démesure (hybris), le sens des limites, le refus du primat de tout ce qui n’est que matériel. Historiquement, le christianisme est un phénomène hybride, qui a dû composer dans les formes avec le paganisme sans pour autant cesser de le combattre sur le fond. Je n’aime pas ceux qui ne croient à rien. Je crois que pour donner le meilleur de lui-même, pour parvenir à son telos, l’homme doit s’appuyer sur quelque chose qui le dépasse. Mais je ne crois à aucun arrière-monde, à aucun au-delà du monde. Je ne crois pas à la distinction théologique de l’être créé et de l’être incréé. C’est pourquoi je me sens plus chez moi en me plongeant dans les récits homériques ou dans la Chanson des Nibelungen, en pratiquant Héraclite, Aristote, Sénèque ou Marc-Aurèle, qu’en lisant saint Paul ou saint Augustin. J’étudie les origines chrétiennes depuis plus de quarante ans. Je n’y vois rien de crédible ni d’attirant. Au christianisme, je reproche son universalisme (le «peuple de Dieu» ne se confond avec aucun peuple), qui l’empêche, quand il est laissé à lui-même, d’assumer une dimension identitaire. Je lui reproche d’avoir introduit l’individuo-universalisme dans l’espace mental européen, d’avoir vidé le monde de toute sacralité intrinsèque, d’avoir propagé une conception vectorielle, linéaire de l’histoire dont sont sortis tous les historicismes modernes, d’avoir disséminé ces «vérités chrétiennes devenues folles» (Chesterton) qui, une fois sécularisées, ont formé le socle du monde désenchanté, vidé de sens, où nous vivons aujourd’hui. »

Armand Berger – « L’Ennemi ne triomphera pas tant que la tradition demeure, tant qu’il y a dans le monde des êtres capables de tenir à bout de bras tout le poids d’un héritage. » (Tolkien, l’Europe et la Tradition)

« La tradition tient du choix : la transmettre, assurer sa relève et maintenir le patrimoine vivant, ou bien la laisser disparaître devant le nihilisme. S’il n’y a plus de tradition, nous renonçons à ce que nous sommes et nous laissons le champ libre à toutes les dérives que le monde engendre au quotidien. »

René Bickel (Sortir de la cage) – « Nos cerveaux sont sous l’emprise d’une élite qui connait et sait exploiter la puissance de la programmation mentale. Ainsi une majeure partie de l’humanité est entravée par sa prison mentale. Cette prison l’empêche d’évoluer vers plus de conscience. Le mode de vie toxique que l’on nous impose, amplifie cette détérioration de la conscience. Non seulement la foule n’est pas consciente de son enfermement, pire, elle va jusqu’à percevoir ceux à l’extérieur comme enfermés derrière des barreaux. »

Pierre-Emile Blairon : « La modernité est le totalitarisme du rien : mondialisation, indifférenciation, uniformisation (…). La modernité n’est pas en crise, la modernité est une crise. »

Paul-Eric Blanrue – « Pourquoi rien ne bouge ? Parce que le pouvoir politique a réussi à corrompre suffisamment de catégories de Français pour anesthésier une quelconque volonté de rébellion en faveur de la liberté, chacun ayant l’impression (fausse, en général) d’être un bénéficiaire net du système. Fonctionnaires, lobbies, communautés, subventionnés, perfusés, assistés, etc. : tous justifient l’existence d’un État de plus en plus obèse. Comme jadis les esclaves, ils sont convaincus de la légitimité de la façon dont l’État les traite. Si dans d’autres situations historiques une telle révolte a été possible, c’est parce que ces catégories étaient quasi inexistantes et que l’État n’avait pas pour fonction d’être redistributeur. C’est bien pourquoi, pour retrouver la liberté, la sécession, individuelle ou collective, est une solution bien supérieure aux urnes qui ne font que refléter de scrutin en scrutin la situation culturelle, fiscale et sociale organisée par l’État. La sécession peut commencer maintenant, chez chacun, pour soi ou en réseau. Il suffit de désobéir. »

Léon Bloy – « À force d’avilissement, les journalistes sont devenus si étrangers à tout sentiment d’honneur qu’il est absolument impossible, désormais, de leur faire comprendre qu’on les vomit et qu’après les avoir vomis, on les réavale avec fureur pour les déféquer. La corporation est logée à cet étage d’ignominie où la conscience ne discerne plus ce que c’est que d’être un salaud. »

Mathieu Bock-Côté – « Si la majorité décidait en démocratie, ça se saurait ! ».

Nicolas Bonnal – « Cette politique meurtrière vise à plonger dans la pauvreté des millions d’êtres humains. Tout ce qui était sacré, hier, est foulé aux pieds ! L’arrêt de l’économie mondiale va provoquer l’effondrement total des pays pauvres. Des centaines de millions de migrants vont frapper aux portes des pays « riches ». Cette politique va provoquer la ruine massive des classes moyennes. Au moins quinze millions de Français seront réduits à vivre de l’aumône publique. Aucun argument rationnel, hormis l’instauration d’un totalitarisme fondé sur la haute-technologie numérique, ne justifie le confinement général, l’arrêt de l’économie, la mort de la culture. Il faut entrer en résistance. »

Abel Bonnard – « L’Ordre est le nom social de la Beauté ».

Junio Valerio Borghese – « Quand nous parlons d' »aristocratie », nous ne faisons pas référence à un titre, ni à un rang économique ou intellectuel, mais à une aristocratie de caractère, une aristocratie de l’esprit. Un type d’aristocratie qu’il faut construire parmi les ruines qui nous entourent »

Jean-Paul Bourre – « Cette force archaïque venue du plus lointain et qui aspire au retour finira par triompher et Zombieland s’écroulera comme un château de cartes; et nous serons là, debout au milieu des ruines, saluant la nature triomphante. Ce pacte avec les forces archaïques n’est possible qu’en modifiant nos perceptions de la vie et de la mort et en entrant avec elles dans le grand tourbillon. La France telle que nous la connaissons appartiendra au passé et finira par entrer dans l’oubli. La roue aura tourné et nous retrouverons les gestes ancestraux, l’amour de la terre, le dialogue avec les forêts, la proximité des anciens dieux, la fraternité des clans qui fut aussi jadis celle des villages, le retour de l’homme libre. »

François Bousquet – « S’afficher, c’est s’affirmer. Inversement, se cacher, c’est se renier – pire : se nier. Redevenons visibles, cherchons la lumière, quittons les catacombes, fuyons les arrière-salles. Nos vies ne sont pas menacées, la protection de leur intégrité physique ne nécessite pas une clandestinité qui conforterait le zèle prophylactique de notre adversaire. Notre passivité revient à lui conférer un pouvoir illimité de police. »

François Brigneau – « Vous regardez votre pays et vous vous demandez de quel cauchemar vous êtes la victime. »

Alain Cagnat – « A la religion des bédouins sémitiques, nous préférons le culte des dieux et des ancêtres ! A Noé, Abraham, Loth, David, Job et tous les autres, qui n’appartiennent pas à notre récit et qui ont été imposés à nos peuples, nous préférons les héros de l’Illiade et de l’Odyssée, les légendes nordiques et les romans de la Table Ronde. Au paradis céleste, nous préférons nos mers et nos lacs, nos forêts et nos montagnes ! Au mea culpa masochiste des chrétiens, nous préférons la Volonté de Puissance ! »

Renaud Camus – « Qu’est-ce que la “liberté de la Presse”, aujourd’hui ? C’est la liberté de dire n’importe quoi sur ceux que l’on fait taire. »

« On ne comprend rien au monde moderne si l’on ne comprend pas que le troisième totalitarisme génocidaire, le remplacisme global davocratique, est avant tout publicitaire, communicationnel, ludique, “sympa”. Il vous tue avec votre accord. Il vous dresse à trouver ça très bien. »

Alexis Carrel – « Aucun des dogmes de la société moderne n’est inébranlable. Ni les usines gigantesques, ni les offices buildings qui montent jusqu’au ciel, ni les grandes villes meurtrières, ni la morale industrielle, ni la mystique de la production ne sont nécessaires à notre progrès. D’autres modes d’existence et de civilisation sont possibles. La culture sans le confort, la beauté sans le luxe, la machine sans la servitude de l’usine, la science sans le culte de la matière permettraient aux hommes de se développer indéfiniment, en gardant leur intelligence, leur sens moral et leur virilité. »

« Les époques de décadence sont caractérisées par la médiocrité des chefs. La foule souffre de n’admirer personne, car le culte des héros est un besoin de la nature humaine ; et aussi une condition indispensable du progrès mental. Dans les pays démocratiques, il n’existe pas d’homme capable de servir de modèle à la jeunesse. » (Réflexions sur la conduite de la vie)

Erwan Castel – « En ces temps d’incertitude, de plus en plus d’esprits libres imaginent sans toutefois revenir en arrière, retrouver les valeurs et l’équilibre que l’Homme entretenait autrefois avec la Nature et par conséquent retrouver l’harmonie d’une destinée qui lui restait soumise par respect. Le paganisme est certainement une des portes majeures pour engager l’Homme sur le chemin de la libération de sa conscience qui, des monothéismes au Monde moderne, a été soumise à la dictature d’une pensée unique, soit religieuse, soit politique. Et cette spiritualité païenne, qu’un simplisme nomme trop facilement « polythéisme », en étant par définition « a-dogmatique » dispose pratiquement d’autant de définitions qu’il y a de croyants, car comme le soulignait Maurice Rollet, il n’y a pas de paganisme, il n’y a que des païens. »

« Il faut rallumer les feux du solstice et cesser de vouloir remuer les cendres d’un monothéisme exogène dont la déclinaison chrétienne est en train de passer le relais à sa soeur musulmane. Les fêtes chrétiennes juives ou musulmanes en comparaison aux fêtes païennes europeennes sont déjà d’une tristesse infinie. La situation actuelle n’est que logique décadence d’une âme européenne qui a trahi ses dieux et ses valeurs. Mais restent intacts les rêves européens et Nietzsche ne disait il pas que « l’Europe se fera au bord du tombeau » ?

Jean Cau – « Compassion. Droits de l’Homme. Un glissement et voici les Droits du toro…A cet instant, une lassitude m’accable, tant et tant de fois je me suis égosillé à assener les évidences. Que la tauromachie est un art, une culture, une tradition – et un amour. Que ses adversaires portent aux toros un autre amour et si violent qu’il en est mortel puisque, sans la corrida, disparaîtrait automatiquement le toro brave et libre remplacé par le bœuf esclave et universel. »

Louis-Ferdinand Céline – « Les journalistes vont immanquablement au faux comme le chien va à la merde. »

« Pour que dans le cerveau d’un couillon la pensée fasse un tour, il faut qu’il lui arrive beaucoup de choses, et des bien cruelles. »

« Ne croyez donc jamais d’emblée au malheur des hommes. Demandez-leur seulement s’ils peuvent dormir encore ? … Si oui, tout va bien. Ça suffit. »

« Dans nos démocraties larbines, ça n’existe plus les chefs patriotes. […] Pour l’adoption d’un parti, d’un programme, c’est comme pour le choix d’un article au moment des “réclames”, on se décide pour le magasin qui vous promet le plus “d’avantages ».

« La dictature des larves est la plus étouffante, la plus suspecte de toutes. Puisqu’ils régissent tout, tout peut être violé, souillé, déguisé, trafiqué, détruit, prostitué… »

« Le Goy […] a perdu tout discernement […] Il ne réagit plus. Il ne se doute même plus qu’il n’existe plus. Il est trop minutieusement entrepris depuis l’école, depuis le lycée, depuis trop longtemps accaparé, robotisé, implacablement sonné, du berceau jusqu’à la tombe. »

« Le fait par lui-même par son cynisme en dit long sur l’état de pourriture où en est parvenu la justice, la politique française et l’état français tout entier. »

« Nous crevons d’être sans légende, sans mystère, sans grandeur. Les cieux nous vomissent. Nous périssons d’arrière-boutique. Vous voulez retrouver l’entrain ? la force créatrice ? alors première condition : Rénovez l’école ! recréez l’école ! pas qu’un petit peu… sens dessus-dessous !… Tout doit reprendre par l’école, rien ne peut se faire sans l’école, hors l’école. Ordonner, choyer, faire éclore une école heureuse, agréable, joyeuse, fructueuse à l’âme enfin, non point morne et ratatinière, constipante, gercée, maléfique. L’école est un monde nouveau qui ne demande qu’à paraître, parfaitement féerique, tous nos soins envers ce miracle ne consistent encore à ce jour qu’en brutalités méthodiques, en avortements acharnés. »

Coco Chanel – « L’acte le plus courageux reste de penser par vous-même. A haute voix. »

Pietro Ciapponi – « Le mot Europe devrait susciter dans l’âme de chacun de nous, avant toute chose, une perspective historique et politique qui évoque l’esprit d’identité d’une civilisation plurimillénaire : une idée d’empire et de hiérarchie qui n’a rien à voir avec un “marché commun” uniforme et sans colonne vertébrale. » (Les défis de l’Europe. Les racines d’une civilisation et les limites d’une bureaucratie).

« Les scénarios qui se profilent à l’horizon, du reste, ne laissent aucune place à l’imagination : notre civilisation est un patrimoine à défendre et non un mythe à déconstruire. Le choix doit être clair : il faut à nouveau considérer l’Europe comme notre terre ancestrale, comme une source à laquelle puiser pour redécouvrir nos racines, nécessaires pour faire face aux défis décisifs qui nous attendent. » (Les défis de l’Europe. Les racines d’une civilisation et les limites d’une bureaucratie).

Emil Cioran – « L’âme est naturellement païenne. »

« Tout au long du XVIIIe se déploie le spectacle envoûtant d’une société vermoulue, préfiguration de l’humanité arrivée à son terme […] une ère d’avortons hypercivilisés, ensorcelés par le naufrage et dignes d’y périr. »

« Mille ans de guerres consolidèrent l’Occident ; un siècle de “psychologie” l’a réduit aux abois. »« Mille ans de guerres consolidèrent l’Occident ; un siècle de “psychologie” l’a réduit aux abois. »

« Quelle malédiction l’a frappé l’Occident pour qu’au terme de son essor il ne produise que ces hommes d’affaires, ces épiciers, ces combinards aux regards nuls et aux sourires atrophiés, que l’on rencontre partout, en Italie comme en France, en Angleterre de même qu’en Allemagne ? Est-ce à cette vermine que devait aboutir une civilisation aussi délicate, aussi complexe ? Peut-être fallait-il en passer par là, par l’abjection, pour pouvoir imaginer un autre genre d’hommes. »

« Le monothéisme judéo-chrétien est le stalinisme de l’Antiquité. » (Carnets 1957-1972)

Horatius Coclès – « Tôt ou tard, la mort se présente à chaque homme sur cette terre. Quelle meilleure façon pour un homme de mourir que d’affronter son terrible destin, en défendant les cendres de ses parents et les temples de ses dieux ? »

Philippe Conrad – « La condition nécessaire pour surmonter les crises en cours consiste à renverser la table et à balayer l’idéologie mortifère aujourd’hui dominante, à affirmer les identités des patries charnelles et des nations et la communauté civilisationnelle correspondant à notre vieille Europe brisée par le sombre XXe siècle. »

Corneliu Codreanu – « La démocratie élit des hommes totalement dépourvus de scrupules, sans aucune morale ; ceux qui paieront mieux, donc ceux qui ont un plus grand pouvoir de corruption ; magiciens, charlatans, démagogues, qui excelleront dans leur domaine pendant la campagne électorale. »

A. Courlande – « Le catastrophisme officiel, qu’il s’exprime à travers les alarmes répétées sur l’avenir de la terre ou la tyrannie covidiesque, est devenu la meilleure manière de tisser, au profit de l’Hyperclasse mondialisée, la laisse de la soumission. »

Matthew Crawford – « L’économie managériale veut des homo sapiens interchangeables qui rêveraient en espéranto dans un monde androgynisé ».

Rodolphe Crevelle – « La réalité dont personne ne débat est que la démocratie n’est pas seulement le système le plus vulgaire, le plus facile à acheter, le plus médiocre dans le choix de ses agents, le moins agile, le moins propre à prendre des décisions… Elle est surtout une douleur… Depuis que ce système existe, tous ceux qui s’intéressent à la politique, tous ceux qui aiment l’histoire et éprouvent des sentiments fervents pour leur pays ou leur classe, souffrent mille morts, chaque jourSous ce régime où seuls les cyniques et les décérébrés parviennent à être heureux, des millions d’incultes et de médiocres n’entravent pas seulement l’avènement des sages décisions, mais ils empêchent tout simplement les idéalistes d’être heureux ! Ils les empêchent de se réaliser et d’accomplir leur destin, comme on dit. »

Alain Daniélou – « La plupart des problèmes du monde actuel proviennent des idéologies monothéistes, répandues par des prophètes qui se croient ou se disent inspirés, et prétendent détenir la vérité. Ceci est évidemment une absurdité car la vérité n’est pas une. La réalité du monde est multiple et insaisissable. Seuls ceux qui sauront se libérer des monothéismes, des dogmatismes, des croyances aveugles, du christianisme, de l’islam, du marxisme pourront se rapprocher de la multiplicité du divin, remettre l’homme à sa place dans la Création et trouver la voie de la tolérance, de l’amour, ainsi que de l’amitié des bêtes, des hommes et des dieux. »

Georges Darien – « Le Socialisme s’est constitué en parti, en religion ; a codifié ses formules, promulgué son évangile. Il a placé sur le lit de Procuste le matelas de théories filandreuses cardé par Marx, et invite l’humanité à s’y étendre. Les Socialistes scientifiques, pleins d’eux-mêmes et le nez collé aux pages moisies du Capital, s’étonnent que l’humanité ne réponde point à leur appel et ne se hâte point, au sortir du régiment, de s’engouffrer dans leur caserne. Leur science… cochonne de science ! Autant, n’est-ce pas, n’en pas parler. Leurs théories ne méritent pas la discussion. Leurs pontifes sont au-dessous de l’insulte. On ne peut cependant s’empêcher de considérer comme monstrueux, dans ce pays de France qui vit éclore, et qui voit éclore tous les jours, tant d’idées hautes et simples, l’accaparement d’une partie de l’intelligence populaire par les doctrines du collectivisme. Ces doctrines ne sont pas seulement imbéciles ; elles sont infâmes. Si elles étaient réalisables, elles mèneraient directement, ainsi que l’a démontré Herbert Spencer, à une nouvelle forme d’esclavage, plus hideuse que toute celles qui firent jusqu’ici gémir l’humanité. »

Richard Walther Darré – « Le sang et le sol sont les conditions préalables les plus essentielles de tout état organiquement structuré. Cela implique que les problèmes économiques d’un tel État ne peuvent être résolus qu’en référence à ces conditions préalables, c’est-à-dire qu’ils sont subordonnés à l’idée du sang et du sol. Mais nous nous trouvons à la fin d’une évolution qui a duré un siècle et qui représentait exactement le point de vue opposé, à savoir que le sang et la terre étaient des choses qui devaient être subordonnées à l’économie et à ses lois. Cette théorie économique nous a été présentée par Hardenberg ; il a été poussé plus loin et entretenu par le libéralisme, pour finalement aboutir à la fraternité jumelle du marxisme et du libéralisme, qui diffèrent en apparence mais pas vraiment en substance. On peut donc dire qu’une forme d’État basée sur l’idée du sang et du sol et construite selon les principes vitalistes doit être l’antithèse absolue de l’état économique des libéraux et des marxistes. »

Olavo De Carvalho – « Le communisme n’est pas un grand idéal qui a été perverti. C’est une perversion qui a été vendue comme un grand idéal. »

Léon Degrelle – Appel aux jeunes européens (8 août 1992) – « C’est ainsi. Ce monde actuel, hypocrite, impuissant, farceur en pleine tragédie, est celui qu’on vous a bâti en 1945 ; c’est lui, suant l’inutilité et la nocivité, que vous, jeunes Européens d’aujourd’hui, allez avoir à abattre. »« La chasse à l’homme que vous subissez en cette extrémité du siècle, les poires d’angoisse qu’il vous faut avaler, nous, vos aînés, les avons connues comme vous, ou même peut-être plus que vous. Nous aussi avons été privés maintes fois de tout usage des libertés publiques. Notre courage eût pu s’émousser. Dès alors, nous étions des pestiférés parce que nous voulions substituer à un régime corrompu, anarchique et ruineux, un État propre, fort et populaire. »

« Là où Napoléon et Hitler ont échoué c’est peut-être le fils de l’un de nos adversaires du Caucase et de Tcherkassy qui réussira en rassemblant autour de la Russie guérie du virus communiste tous les peuples européens pour entraîner le monde dans une nouvelle marche en avant. »

« La démocratie n’est rien d’autre qu’une tromperie pour imbéciles. Les partis politiques, qu’ils soient rouges, blancs, jaunes, verts, de gauche, du centre, de droite, sont tous identiques dans leur scandaleuse inutilité. »

« Pendant des années, les jeunes nationalistes ont souffert de l’union de toutes les forces malsaines. Les francs-maçons étaient unis, cela n’avait rien d’incompatible avec leur soi-disant patriotisme. La canaille marxiste était unie, elle disait en ricanant : « Travailleurs de tous les pays, unissez-vous ». Les forces d’argent étaient unies ; les banquiers de Paris, de New-York, de Bruxelles ou de Londres s’entendaient admirablement. Mais nous, patriotes, nous devions nous détester et nous haïr. Nous, qui étions poussés par la ferveur révolutionnaire, nous devions nous ignorer. Eh bien ! tout cela est fini. Contre les internationales juive, moscoutaire et financière, s’est créée maintenant l’internationale de la jeunesse révolutionnaire. Ils ont été les maîtres hier, avec nos armes nous serons les maîtres demain. « 

« Dans un univers composé de médiocres et de nains, nous, animés par une passion ardente, étions des bâtisseurs de peuples, conscients de notre destin historique. Pas des fraudeurs électoraux, comme en démocratie. Pas des scribes. Pas de mots. Pas des gérants de cantons ridicules. Conquérants, par contre, nous étions : des chevaliers polis et déterminés qui du haut de leurs chevaux déterminaient jusqu’au bout du ciel ce qui leur était offert. Guerriers d’une milice politique et chanteurs d’une épopée qui aurait pu tout sauver, édifier, élever, comment pourrions-nous alors renier ne serait-ce qu’un seul mot sur ce que signifie notre Foi, qui inspire notre Vie ? »

Mgr Henri Delassus – « Faire de tous les Etats de l’ancien et du nouveau monde les départements d’une seule et même république, assujettir tous les peuples au gouvernement d’une Convention unique n’est qu’un côté du plan que s’est tracé le Pouvoir occulte qui dirige la secte judéo-maçonnique et par elle le mouvement révolutionnaire. » (La Conjuration Antichrétienne, p.629, 1910)

Anne-Marie Delcambre – « L’intégrisme n’est pas la maladie de l’islam. Il en est la lecture intégrale. L’islam des intégristes, c’est tout simplement l’islam juridique qui colle à la norme. »

Alexandre Douguine – « L’homme du Nord n’est pas simplement blanc, aryen ou indo-européen par son sang, sa langue et sa culture. L’homme du Nord est un être particulier possédant une intuition directe du sacré. Pour lui le cosmos est une texture de symboles, chacun d’entre eux étant tiré hors du secret par l’œil du principe primordial spirituel. L’homme du Nord est “l’homme solaire”, Sonnenmensch, il n’absorbe pas l’énergie, comme le font les trous noirs, mais il l’engendre et diffuse la lumière, la force et la sagesse depuis son flux de sa création spirituelle… »

Pierre Drieu La Rochelle – « Cette vieille France de droite, tout usée et rongée par la longue soumission aux préjugés de gauche, et qui essaie de remplacer la France de gauche… »

Edouard Drumont – « De même que pour faire un civet, il faut prendre un lièvre, de même, pour faire un juge, il faut prendre un franc-maçon » (La tyrannie maçonnique – 1899)

Robert Dun – « Nous ne pouvons rien espérer des autres. Il nous faut opérer une révolution culturelle radicale ou périr. »

« L’huissier de l’histoire sonne à la porte et nous présente la facture de l’ère dite chrétienne. Cette facture parle de surpopulation, de famines, d’abêtissement, de drogues et névroses universelles, de catastrophes écologiques, de menaces apocalyptiques, de domination mondiale d’une véritable crapulocratie. Nous n’avons plus le temps de concocter des sommes que personne ne lirait. Nous écrivons pour le peuple, pour le petit reste qui mérite encore ce nom, c’est-à-dire pour tout homme capable de réflexion et d’engagement, quels que soient son niveau d’instruction livresque et ses origines sociales. »

« La compromission ouvre la porte à tous les esclavages. […] L’avenir s’il y en avait un, était en dehors de toute cette civilisation industrielle, de sa vulgarité, de sa servilité, de sa fièvre, de sa hâte, de sa superficialité narcotique. »

« Le désert est une maladie de la biosphère et les religions qui y sont nées sont des religions pathogènes imaginées par des malades. S’il est le « jardin d’Allah », c’est que le Dieu du désert est ennemi de la vie. »

« En parlant de renaissance païenne, nous ne pensons pas à une reconstitution des antiquités gréco-romaine, celtique ou germanique. Nous voulons retrouver les perceptions et les états de conscience nécessaires à l’éclosion des religions et des cultures authentiques. »

« Peut-on espérer que les Européens prennent conscience des valeurs qu’ils détiennent, en dépit de leur effroyable déchéance ? Peut-on espérer qu’ils secouent l’immonde philosophie capitaliste du « Tout est à vendre, ce n’est qu’une question de prix », ainsi que la désespérante vision du matérialisme économique version marxiste ? »

« Le capitalisme est le contraire de l’Aryen, il est la misère de l’être qui se compense par l’enflure de l’avoir. Tout Aryen authentique donne par sa simple liberté d’allure de l’urticaire à un capitaliste. La guerre entre les deux est totale et de toujours. Le second pense : « Tout est à vendre, ce n’est qu’une question de prix ». Le premier pense : « Tout ce qui a un prix n’a que peu de valeur »« 

Kurt Eggers – « L’Europe meurt parce qu’elle a oublié la loi, au lieu de la règle des élus, la démocratie règne. Au lieu de la liberté, le libéralisme règne. Au lieu du devoir, le plaisir triomphe. Au lieu du guerrier, le marchand parle. Au lieu du fer, l’or gouverne. L’Europe a trahi le sang et violé la race. Elle a libéré le monde souterrain. Là où le christianisme avançait, elle émasculait la communauté des forts. Le monde est devenu vieux à cause du christianisme, seuls les païens sont restés jeunes. »

John Eldredge – « L’homme étouffe parce qu’il a renoncé aux trois désirs fondamentaux de la virilité. L’homme est fait pour livrer un combat, vivre une aventure, et sauver une beauté. »

Mircea Eliade – « L’intolérance et le fanatisme caractéristiques des prophètes et des missionnaires des trois religions monothéistes ont leur modèle et leur justification dans l’exemple de Yahvé. »

Julius Evola – « Seule compte la résistance silencieuse d’un petit nombre, dont la présence impassible de « convives de pierre » sert à créer de nouveaux rapports, de nouvelles distances, de nouvelles valeurs, et permet de constituer un pôle qui, s’il n’empêche certes pas ce monde d’égarés d’être ce qu’il est, transmettra pourtant à quelques-uns la sensation de la vérité, sensation qui sera peut-être aussi le début de quelque crise libératrice. »

« L’inégalité des hommes est une chose trop évidente pour que l’on se répande à ce sujet ; il suffit d’ouvrir les yeux et de regarder. »

« S’il y a jamais eu une civilisation d’esclaves dans les grandes largeurs, c’est bien la civilisation moderne. Aucune culture traditionnelle n’a vu d’aussi grandes masses condamnées à un travail aveugle, automatique et sans âme : esclavage qui n’a même pas pour contrepartie la haute stature et la réalité tangible de figures de seigneurs et de dominateurs, mais est imposé de façon anodine à travers la tyrannie du facteur économique et des structures d’une société plus ou moins collectivisée. »

« Il est un principe qui, aujourd’hui plus que jamais, devrait être d’une évidence absolue : si un Etat possédait un système politique et social qui serait, en théorie, le plus parfait, mais si la substance humaine était tarée, eh bien cet Etat descendrait tôt ou tard au niveau des sociétés les plus basses, alors qu’un peuple, une race capable de produire de vrais hommes, des hommes à l’intuition juste et à l’instinct sûr, atteindrait un haut niveau de civilisation et résisterait aux épreuves les plus calamiteuses, même si son système politique était défectueux et imparfait. Qu’on prenne donc nettement position contre le faux « réalisme politique », qui ne pense qu’en termes de programmes, de problèmes d’organisation des partis, de recettes sociales et économiques. Tout cela appartient au contingent, non à l’essentiel. La mesure de ce qui peut encore être sauvé dépend en fait de l’existence, ou non, d’hommes qui se tiennent debout devant nous non pour prêcher des formules, mais pour être des exemples, non pour aller à la rencontre de la démagogie et du matérialisme des masses, mais pour réveiller des formes différentes de sensibilité et d’intérêt. »

« C’est ainsi que se mesure la force : savoir comment mener sa vie dans un monde où il n’y a plus de sens, de vérité, de but, de loi, de justice ou de causalité, et en même temps ne pas perdre la volonté même de vivre. »

Pegi Eyers – « L’animisme est la manière dont l’humanité est profondément connectée à la terre et à ses cycles saisonniers depuis des millénaires, en relation et en conversation avec les animaux, les plantes, les éléments, les ancêtres et les esprits de la terre. Le contraire de l’animisme est le « culte de l’individu » si célébré dans la société moderne, et la perte de la vision animiste du monde est à l’origine de notre déconnexion spirituelle et de la crise écologique imminente. Les êtres humains ne sont qu’un brin tissé dans les systèmes complexes de la Communauté Terrestre, et la perspective animiste est fondamentale pour le changement de paradigme et la récupération de notre propre sagesse ancestrale. »

Guillaume Faye – « Il existe trois hypothèses pour la suite des évènements. La première, la pire, serait celle de la soumission. Pour faire la guerre et pour vaincre, il faut être deux. Si, face aux envahisseurs étrangers, les Français blancs ne se défendent pas, il n’y aura pas de guerre. Ce sera le pourrissement, l’effondrement sans vrai combat ni vengeance isolée. C’est une possibilité que je n’exclus pas du tout. La deuxième hypothèse, c’est l’éclatement d’une guerre civile raciale avec défaite des autochtones français et des Européens ethniques, ayant contre eux leur propre État collaborateur. La troisième hypothèse, c’est celle d’une guerre civile victorieuse, avec des conséquences historiques incalculables, dont l’effondrement de tous nos paradigmes politiques.« 

« Aujourd’hui la question ce n’est plus « Quelle est la couleur de ton tee-shirt ? ». La question c’est « Pour ou contre la Banque ! ». La question n’est plus de savoir si ce gars-là fait peur ou pas parce qu’il est habillé en noir… ça c’est de l’enfantillage. »

« Il faut saluer la tâche de ceux qui un peu partout, et de manière résistante, obstinée, minoritaire, habile, opèrent un travail culturel, un travail de moines et de fourmis, pour entrevoir la flamme de l’identité européenne. Car on ne peut pas faire la guerre si l’on ne sait pas qui l’on est, on ne va nulle part si l’on ignore d’où l’on vient.« 

« C’est l’esprit bourgeois qu’il faut abolir. Cet esprit bourgeois qui désarme l’homme européen, qui l’empêche de défendre ses femmes et ses enfants, qui le dévirilise. La tolérance, la commisération, la pitié pour l’autre, le lointain ; l’indifférence pour ceux de son clan, pour ses proches, telle est la logique de l’esprit bourgeois, cette peste qu’il faut combattre selon l’esprit nietzschéen de l’Umwertung, le “renversement” de toutes les valeurs. »

« L’Europe est à prendre ! De fait, elle se dévirilise, elle fête la Gay Pride assomption de l’homophilie triomphante ; elle célèbre la dénatalité, l’individualisme débridé, le métissage de ses femmes et l’ethnomasochisme. Elle offre gîte, couvert, allocations et soins à des armées de faux réfugiés, mais elle laisse mourir de faim ses SDF autochtones. Elle décrète inhumaine l’expulsion des clandestins, des envahisseurs. Elle pratique la préférence étrangère. Ses classes politiques, sa bourgeoisie xénophile ont voulu qu’elle ressemblât à ces femmes d’âge qui payent les gigolos pour qu’ils s’installent chez elles. »

« Le vivre-ensemble bienveillant n’est possible qu’entre des populations apparentées, biologiquement et culturellement. Tout le reste n’est que fumisterie. »

« Mon Paganisme n’a rien de spiritualiste ni de mystique ; il est charnel, vécu, je dirais : poétique et totalement personnel. Mon itinéraire est tout sauf « spirituel », mais purement sensuel. La richesse du Paganisme, que ne possède aucune autre « religion », c’est qu’on y trouve une extraordinaire pluralité de sensibilités : du Paganisme des bois et de l’enracinement, à celui du déchaînement de la technoscience ; du Paganisme des brumes de la lande à celui des divinités du feu solaire. Du Paganisme des fontaines et des nymphes à celui du bruissement sourd des batailles, de celui du chant des fées ou du galop des lutins dans les sous-bois, à celui du tonnerre des réacteurs, de celui des grands Dieux tutélaires à celui des lares. Mais le génie du Paganisme, c’est de rassembler dans une totalité cosmique et organique l’ensemble des passions humaines, avec leurs misères et leurs grandeurs. Le Paganisme est bien le miroir du monde vivant. »

« L’histoire retient les res gestae, les actes, pas la contemplation abstraite et dandy pour des théories inutiles, balayées par l’oubli. Seul le faire est efficace et, seul, il est le but de la pensée comme des mouvements esthétiques de l’âme. »

« Le Paganisme n’est ni dissertation savante, ni « connaissances » froides, mais attitudes pour l’action. Pour moi, il est immersion dans la vie, pratique qui transforme le monde. Ce ne sont jamais les mots qui comptent d’abord, ni les idées, mais les actes concrets auxquels ces idées et ces mots conduisent. Une idée n’est pas intéressante parce qu’elle est brillante en elle-même, mais si elle donne lieu à une modification d’un état de fait, à une incarnation dans un projet : tel est le centre de l’épistémologie païenne ; à l’inverse de l’épistémologie judéo-chrétienne, où l’idée ne vaut qu’en elle-même, où les contingences matérielles, l’urgence, le réel sont méprisés. J’ai toujours été frappé par le fait que les Paganismes gréco-latin, germanique, ou celtique, n’avaient rien de méditatif ou de contemplatif. Ils étaient éminemment actifs, politiques et guerriers. »

« Plusieurs Judéo-Chrétiens qui s’ignorent pensent, de manière tout à fait biblique, que la volonté de puissance est un péché contre Dieu, un défi, et que, selon l’enseignement des bons Pères, la seule puissance acceptable serait l’« empire intérieur », dématérialisé. Cette vision suppose que le monde obéit au dualisme : d’un côté le « spirituel », le sacré, la méditation ; de l’autre le vulgaire profane, englué dans une frénésie absurde de domination, de calculs, de batailles, de stratégies. Je prétends au contraire que le matérialisme et le sens du sacré sont intimement liés dans le Paganisme, « matérialisme » n’étant évidemment pas confondu avec consumérisme. »

« Dans le Christianisme, ce qui m’a toujours gêné, disons dans le Christianisme d’après Vatican II (qui n’a plus rien à voir avec celui des Croisades), c’est qu’il distille une préférence systématique pour le faible, la victime, le vaincu ; il place l’orgueil au rang de péché et condamne la sensualité, même saine, comme contraire aux voies divines. Ce furent la lecture de Nietzsche, mais surtout l’observation des prélats et des Chrétiens d’aujourd’hui, qui me convainquirent du caractère souffreteux et contre-nature de la morale chrétienne, une morale de malades, une rationalisation des frustrations. Cette idée de rédemption par la souffrance, qui n’a rien à voir avec l’idée païenne de mort héroïque, s’apparente à une haine de la vie. Et puis, je ne supportais pas l’idée de péché originel, l’idée qu’on me tînt responsable des souffrances du Christ. »

« Plus que toute autre religion, le Paganisme est à la fois garant de l’ordre social, de l’ordre cosmique et naturel, garant de la pluralité des croyances et des sensibilités. Il repose sur la logique du « chacun chez soi », et non sur le fantasme de la mixité universaliste chaotique. Son modèle social associe étroitement les notions de justice, d’ordre et de liberté, ces dernières étant fondées sur la discipline. Il part du principe que l’humanité est diverse, et nullement destinée à s’unifier, que l’histoire est un devenir imprévisible et sans fin. Il suppose, à l’inverse des monothéismes, une humanité hétérogène composée de peuples homogènes, l’essence du politique étant la constitution de l’homogénéité de la Cité, sacralisée par les divinités, dans laquelle l’identité se confond absolument avec la souveraineté. Organique et holiste, la vision païenne du monde considère les peuples comme des communautés de destin. Ainsi qu’on le vit dans le Paganisme grec, la notion de Cité, soudée par le patriotisme et l’identité commune (reflet des diversités des divinités et de la nature) est fondamentale dans le Paganisme, où les divinités tutélaires avaient une dimension essentiellement politique et enracinée. »

« Tout ce qui nuit à la perpétuation saine de l’espèce et du peuple, à l’homogénéité organique de la Cité ou de l’État (au sens romain du mot) ne peut se prétendre « païen ». Un Païen ne sera jamais ni un puritain ni un obsédé sexuel (les deux étant d’ailleurs très proches…), ni un anarchiste ni un tyran (le second procédant du premier). »

« Comme le souligne Pierre Vial, dans la lignée de Nietzsche, le point de rupture affectif entre la conception judéo-chrétienne du monde et la conception païenne, que j’ai personnellement toujours ressentie et qui fut une des causes majeures de mon choix du Paganisme, c’est que les Chrétiens préfèrent le martyr au héros, que leur dolorisme célèbre la vertu rédemptrice de la souffrance, qu’ils préfèrent le masochisme, la culpabilité, le repentir à l’esthétique de la vie et de la volonté de puissance, la morale du péché plutôt que l’éthique de l’honneur et de la honte. »

« Sur le fond, la mentalité païenne, par rapport à la chrétienne, a été conformée par l’ancienne attitude de l’homme païen antique face à ses Dieux : ne chercher aucune consolation auprès du divin. Les Dieux ne respectent que la fierté et la force. Pas d’imploration. L’homme ne peut être heureux et sain que par lui-même, que par sa propre puissance psychique intérieure et l’affirmation de sa volonté. L’homme païen ne se couche pas devant ses Dieux ; il les défie. Ou il les remercie et cherche à se les rendre favorables. Le Christianisme a développé une théologie de la castration, où nous sommes coupables et infériorisés. Le Païen séduit ses Dieux ou les affronte, le Monothéiste les implore et s’humilie. »

Gottfried Feder – « L’idée de l’intérêt sur les prêts est l’invention diabolique du grand capital d’emprunt ; elle seule rend possible la vie de bourdon paresseux d’une minorité de magnats aux dépens des peuples productifs et de leur potentiel de travail. »

Georges Feltin-Tracol – « Seule une prise de conscience générale de leur européanité intrinsèque permettra aux peuples autochtones du vieux continent de contrer le travail corrosif de l’Occident moderne, du multiculturalisme et du postmodernisme.« 

Henri Fenet – « Nous n’allons pas chercher en Orient nos racines comme le font les chrétiens qui ainsi trahissent leurs ancêtres et leur sang. La Foi du Nord, c’est d’abord la fidélité à notre sang. Nos ancêtres n’étaient pas des bergers sémites, mais des guerriers indo-européens, descendants eux-mêmes des grands chasseurs de la plus lointaine préhistoire de l’Europe. Nous n’allons pas chercher au-delà des étoiles des raisons de croire et d’espérer ; c’est sur ce monde que nous portons notre attention et notre dévotion. La Foi du Nord, c’est aussi la fidélité à la terre. »

Franco Freda – « Nous sommes anti-bourgeois : la bourgeoisie, comprise comme état d’esprit et perspective économique du monde, est la première responsable de ce climat en train de se dissoudre […] Nous sommes pour un style de vie qu’aucun parti ne peut nous donner ; mais seulement un ordre d’idées, une unité différenciée de revendications, une camaraderie dans la lutte contre un système brisé. Nous sommes pour une aristocratie qui est un rejet radical du modèle égalitaire. »

Frédéric le Grand roi de Prusse – « Le christianisme est une vieille fiction métaphysique, pleine de fables, de contradictions et d’absurdités : elle est née dans l’imagination enfiévrée des Orientaux, puis s’est répandue dans notre Europe, où quelques fanatiques l’ont épousée, où certains intrigants ont feint d’en être convaincus et où quelqueles imbéciles y croyaient vraiment. »

Grégoire Gambier – « Européens conscients et fiers de l’être, nous voilà pour ainsi dire condamnés à être insoumis, dissidents et rebelles. Insoumis à l’injonction du “vivre ensemble” au sein de sociétés multiculturelles, en voie d’africanisation et d’islamisation accélérées. Dissidents du nouvel ordre mondial marchand, de la pensée conforme et du caquetage médiatique. Rebelles enfin, aujourd’hui comme hier, à toute forme de totalitarisme. Rebelles par fidélité. »

« Une nouvelle Révolution ? Nous y sommes prêts. Mieux encore, nous la voulons, et entendons l’insuffler. Précisément au moment où s’achèvent et s’épuisent de nombreux cycles historiques et idéologiques, dont principalement celui de la modernité marchande, individualiste et “libérale” imposée par les Lumières. »

Jean-Eudes Gannat – « Nous ne comptons pas réussir nos vies au sens où l’entendent le Marchand et la Putain. D’autres choses nous appellent, que notre époque méprise et que nous révérons : l’honneur, la fidélité, l’amour, la vie, le sacrifice. »

Pierre Gaxotte – « Voulez-vous connaître notre secret ? Parcourez nos faubourgs et regardez les antennes plantées en forêt très dense sur les immeubles. L’individu français est mort. Ou moribond. Il ne reste que la masse française, qui, chaque jour, reçoit sa vérité courant sur les ondes. De son réveil à l’heure du sommeil, elle est plongée dans un bain de propagande, sans posséder les connaissances, ni l’esprit critique qui lui permettraient de se défendre. »

Pierre Gentillet – « Certains se mobilisent pour des bébés poignardés, des Lola massacrées, des femmes violées par des individus sous OQTF. D’autres pour un mineur connu de la police pour usage de stup, conduite sans permis et tué suite à un refus d’obtempérer. Nos combats révèlent qui nous sommes. »

Christopher Gérard – « Face à la décadence, trois genres de réaction révèlent un type d’homme : les uns, la majorité, acceptent sans broncher de ne pas voir ce qui les tue et frémissent ou ricanent si d’aventure un éveillé tente de leur ouvrir les yeux. Cynisme ou perversion, une minorité jouit des décadences comme s’il était possible de ne pas être englouti par la montée des eaux d’égout. Une autre minorité, les purs, refuse les fatalités trompeuses ; elle prend les armes et combat. »

« Face à l’assaut migratoire que nous subissons aujourd’hui dans sa phase aiguë (le camp des saints), tétanisés et culpabilisés par diverses officines, dont celle du pape des Chrétiens, cette charité mal comprise et instrumentalisée par des esprits sournois et décadents risque de nous être fatale. Grimée en amour de l’autre, la haine de soi fera couler des fleuves de sang. Mes souhaits pour l’avenir ?, me demandez-vous à moi qui suis pessimiste et sans illusion. Répondons avec candeur. Que les Européens retrouvent leur fierté, ce génie qui a créé le Parthénon et Versailles, Lascaux et la Sixtine. Que s’effondre ce culte abject de la marchandise qui défigure les visages, décompose les corps et ruine les âmes. Que le sacro-saint marché cesse d’incarner la valeur suprême. Que le culte parodique du dieu jaloux qui a pour prophète tel « chamelier péninsulaire » perde le plus de terrain possible ici comme ailleurs. Qu’une prise de conscience globale permette de purifier notre planète des déchets dont nous la saturons. Qu’Apollon et Aphrodite, pour parler grec, guident à nouveau les hommes libres, ceux qui prient debout. »

« Les Dieux n’accordent aucune récompense. C’est l’éthique de l’honneur qui commande de transmettre un nom sans tâche, d’être fidèle à la parole donnée et de respecter les contrats. Violer ceux-ci n’est pas pécher, mais commettre une faute qui se paie toujours au prix fort. La faute suprême est celle que les Grecs nomment hybris : la démesure, dictée par l’orgueil, qui pousse l’aveugle à aller à l’encontre de l’ordre cosmique. Les plus terribles exemples d’hybris ne sont-ils pas aujourd’hui ces totalitarismes qui, à force de vouloir « changer l’homme », n’ont fait que l’avilir ? »

Guido de Giorgio – « Retourner aux origines, non revenir en arrière, car on ne peut pas revenir en arrière. Dans cette vie indissociable de la succession, il ne peut pas y avoir de moments identiques : chaque tourbillon est nouveau dans le tumulte des flots. Mais on peut en revanche retourner aux origines, à un esprit normal de compréhension de la vérité et orienter toutes les forces de la connaissance dans une direction qui soit sur l’axe même des vérités traditionnelles. »

Nicolas Gomez Davila – « La liberté à laquelle aspire l’homme « moderne » n’est pas celle de l’homme libre, mais celle de l’esclave un jour de fête. »

« Ne pas sentir la putréfaction du monde moderne est un indice de contamination. »

« Les concessions sont les marches vers l’échafaud. »

« Le Progrès se réduit finalement à voler à l’homme ce qui l’ennoblit, pour lui vendre au rabais ce qui l’avilit.

« De celui dont nous disons qu’il est un homme de son temps, nous ne faisons que remarquer qu’il coïncide avec la majorité des imbéciles du moment. »

Rudolf Hammer – « Paul (Saül de Tarse) de son vrai nom) fut le véritable fondateur du christianisme. Il s’est déplacé comme Trotski pour trouver des adhérents à ses enseignements parmi tous les peuples. Il était le modèle pour les radicaux juifs modernes. Aussi peut-on et doit-on dire aujourd’hui, aussi difficiles et amères que soient ces paroles pour certains : le vrai christianisme n’est rien d’autre qu’un bolchevisme apprivoisé. »

Reinhard Heydrich« Qui parmi nous n’a pas, au fond de son cœur, à condition de penser encore avec son sang, un sentiment de honte profonde, étrangement obsédant, quand, en se promenant dans la campagne, devant le panorama peut-être des Alpes enneigées au sommet des montagnes ou au milieu d’une sombre lande westphalienne, il tombe sur une image de Jésus crucifié ? Les dieux de nos ancêtres étaient différents ; c’étaient des hommes, et chacun avait une arme à la main, symbolisant l’attitude à la vie qui est inhérente à notre race : celle de l’action, celle de la responsabilité de l’homme envers lui-même. Quelle différence avec ce crucifié pâle, exprimant, par son regard décidé de souffrance, d’humilité et d’abandon extrême, des qualités qui contredisent l’attitude héroïque fondamentale de notre race. »

Robert Heinlein – « Une société armée est une société de courtoisie mutuelle. Les manières de communiquer sont toujours polies quand chacun doit être responsable de ses actes avec sa propre vie. »

Herman Hesse – « Le bourgeois, de par sa nature, est un être doué d’une faible vitalité, craintif, effrayé de tout abandon, facile à gouverner. C’est pourquoi, à la place de la puissance, il a mis la majorité ; à la place de la force, la loi ; à la place de la responsabilité, le droit de vote. »

Thierry Hentsch – « Le Héros est justement celui qui n’hésite pas à mettre en jeu son bien le plus cher, le seul qu’il ait, sa vie terrestre, parce que le prix de la vie est à ce risque. La vie ne vaut que d’être risquée et celui qui n’est pas prêt à affronter la mort pour lui donner tout son prix ne mérite pas de vivre, il mène une vie indigne. […] Le héros homérique risque sa vie sans jamais se résigner à l’idée de sa perte. Il la risque pour la garder et pour lui garder toute sa valeur, il la risque pour lui donner jour après jour son éphémère et irremplaçable beauté. »

Pierre Hillard – « Les gens ne bougeront que dans le malheur. Pour cela il faut que leur vie quotidienne soit détruite, que leur frigo soit vide. »

Adolf Hitler – « Ceux qui veulent vivre, qu’ils se battent, et ceux qui ne veulent pas se battre dans ce monde de lutte éternelle ne méritent pas de vivre. »

« Vous ne devez pas vous plaindre si vous êtes asservi. Mais si vous croyez que vous devez être libre, alors vous devez apprendre à reconnaître que personne ne vous donne la liberté, sauf votre propre épée. »

« Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique de l’échec humain. »

« Mon ambition n’est pas de faire la guerre, mais de créer un nouvel État social de la plus haute culture. Et chaque année de cette guerre me détourne de ce travail. »

« Tout ce que nous admirons aujourd’hui sur cette terre est le produit créatif de seulement quelques peuples et peut-être n’a pour origine qu’une seule race. De ces peuples dépend l’existence de toute cette culture. S’ils périssent, la beauté de cette terre sombrera avec eux dans la tombe. »

Friedrich Hölderlin – « Là où croît le danger, croît aussi ce qui sauve. »

« Sommes-nous nés de l’eau croupie comme les feux follets, ou descendons-nous des vainqueurs de Salamine ? Comment, nature libre des Grecs, as-tu pu te laisser asservir ? Comment as-tu pu déchoir ainsi, race paternelle dont les statues de Jupiter et d’Apollon ne furent jadis que la copie ? Entends-moi donc, ciel d’Ionie ! entends-moi, terre natale, mendiante demi-nue sous les oripeaux de ton ancienne splendeur, je ne le supporterai pas plus longtemps ! »

Hans-Herman Hoppe – « Ce qui est vrai, juste, et beau n’émane jamais du vote populaire. Partout les masses sont ignorantes, de courte vue, motivées par l’envie, et faciles à duper. Les politiciens des démocraties doivent charmer ces masses pour se faire élire. Le vainqueur sera le meilleur démagogue. Dès lors, quasiment par nécessité, la démocratie mènera à la perversion de la vérité, de la justice et de la beauté. »

« L’État moderne a privé les propriétaires privés du droit d’exclusion impliqué dans le concept même de propriété individuelle. La discrimination est rendue illégale : les employeurs ne peuvent embaucher qui ils veulent. Les propriétaires ne peuvent louer à qui leur plaît. (…) L’État a ainsi volé aux individus une grande partie de ce qui assurait leur protection physique. Ne pas avoir le droit d’exclure les autres signifie ne pas avoir le droit de se protéger. Le résultat de cette érosion des droits de la propriété par l’État démocratique est l’intégration forcée. (…) Les professeurs ne peuvent exclure les étudiants qui se comportent mal ; les employeurs sont condamnés à garder des employés nuls ; les propriétaires sont forcés de garder des locataires invivables ; les banques n’ont pas le droit d’éviter les clients à risque ; les clubs privés doivent accepter des membres contrairement à leurs statuts (…) Et pourtant, exclure quelqu’un de sa propriété est le seul moyen d’éviter des ennuis qui réduiraient la valeur de cette propriété. L’intégration forcée subventionne le mauvais comportement ; dans une société civilisée, le prix à payer pour un mauvais comportement est l’expulsion ; les individus pourris sont mis à l’écart pour protéger les individus honnêtes. Cette exclusion décourage les mauvais comportements, en accroît le coût. Si cette règle est brisée, les gens malhonnêtes et mal élevés vont proliférer. Cette politique d’intégration forcée a des résultats visibles : toutes les relations sociales, professionnelles ou privées deviennent de plus en plus égalitaires et le degré de civilisation diminue. »

Olaf Hoskuldsson (Chef Viking, Laxdoela Saga, XIIIe siècle) – « Je veux que les plus sages décident ; l’avis des gens stupides me parait d’autant moins utile qu’ils seront toujours les plus nombreux. »

Victor Hugo – « Les villes font des hommes féroces, parce qu’elles font des hommes corrompus. La montagne, la mer, la forêt, font des hommes sauvages. Elles développent le côté farouche, mais souvent sans détruire le côté humain. »

Samuel Huntington – A propos du modèle américain de société multiraciale : « L’histoire nous apprend qu’aucun Etat ainsi constitué n’a jamais perduré en tant que société cohérente. »

Thibault Isabel – « Le paganisme est une esthétique…de vie.. La vie est un jeu, une lutte, un combat devant lequel on ne saurait se défiler sans faiblesse. Le courage, le sens de l’honneur, la loyauté, le respect de la parole donnée, la générosité et l’exigence illustrent quelques unes des vertus païennes les plus importantes. Ces valeurs ne sont pas vertueuses parce que le créateur l’a décrété pour nous, mais parce qu’elles nous rehaussent dans notre humanité. Celui qui les bafoue n’ira pas en enfer, il rendra le monde moins beau. Face au spectre du désenchantement nihiliste, le monde à venir cherchera des pistes stimulantes pour amorcer sa lente germination. Le temps est un éternel retour. Si le paganisme a été hier, il sera aussi de demain. »

Marcel Jouhandeau – « Au milieu d’un monde qui s’écroule, on veut mourir debout ! »

Carl Jung – « Ce n’est pas une coïncidence que ceux qui ne réfléchissent pas dans le sens du narratif dominant, soient traités comme étant les inaptes de ce monde. Pour maintenir l’ordre et le contrôle, vous devez isoler l’intellectuel, le sage, le philosphe et le savant avant que leurs idées n’éveillent les gens. »

Ernst Jünger – « Les longues périodes de paix favorisent certaines illusions. L’une d’elles est la croyance que l’inviolabilité du domicile se fonde sur la Constitution, est garantie par cette dernière. En fait, elle se fonde sur le père de famille qui se dresse au seuil de sa porte, entouré de ses fils, hache à la main. »

« Nous devons à nouveau remplacer la plume par l’épée, l’encre par le sang, la parole par l’action, la sensibilité par le sacrifice ! »

« Il y a deux types d’hommes : on reconnaît le premier à ce qu’il est prêt à négocier à tout prix, le second prêt à se battre à tout prix »

« Peut-être distinguera-t-on à la fin de ce siècle deux classes d’hommes, les uns formés par la télévision, les autres par la lecture. »

« Dans la meute grise se cachent les loups, c’est-à-dire les gens qui continuent à savoir ce qu’est la liberté. Et ces loups ne sont pas seulement forts en eux-mêmes : ils risquent également de répandre leurs attributs auprès des masses, lorsque le mauvais jour se lève, de sorte que le troupeau se transforme en horde. Tel est le cauchemar qui ne permet pas à ceux qui sont au pouvoir de dormir paisiblement. »

« Le rebelle est l’individu concret, agissant dans le cas concret. Il n’a pas besoin de théories, de lois forgées par les juristes du parti, pour savoir où se trouve le droit. Il descend jusqu’aux sources de la moralité, que n’ont pas encore divisé les canaux des institutions. Tout y devient simple, s’il survit en lui quelque pureté. »

Guido Keller – « Notre culture a tendance à créer des individus qui n’ont plus le courage et qui n’osent plus vivre de façon passionnante et intensément. Nous sommes éduqués à aspirer à la sécurité comme seul but de la vie. Mais nous ne pouvons y arriver qu’au prix d’une conformité complète et d’une apathie complète. »

« Vivre pleinement, mourir jeune et laisser un beau cadavre. »

Matt Koehl – « Depuis plus d’un millénaire maintenant, le christianisme détient le monopole en tant que gardien autoproclamé du bien-être spirituel et moral de tout un ordre culturel pour lequel il faut raisonnablement supposer qu’il a accepté la responsabilité concomitante. Quels sont donc les fruits de son régime spirituel ? Nous les voyons tout autour de nous. Ce sont les symptômes d’une civilisation malade : décadence, dégénérescence, dépravation, corruption, pollution, égoïsme, hédonisme, matérialisme, marxisme et finalement athéisme ! Et ainsi, l’esprit de l’homme aryen, pour sa part, doit maintenant regarder dans d’autres directions. »

Pierre Krebs – « Les révolutionnaires ne sont ni des dilettantes ni des réformateurs luthériens : ce sont, en ce qui nous concerne, des éveilleurs nietzschéens résolus à faire table rase de toutes les valeurs judéo-chrétiennes ou judéo-américaines à l’aurore d’un cycle nouveau de l’âge identitaire ! »

« Nos pulsions identitaires étaient en dormition. La guerre d’Algérie, chez les uns, le choc de l’immigration allogène, chez les autres, les ont réveillées. Ce sont elles, elles seules, qui sont à l’origine de notre métamorphose. Car le jour où l’esprit s’est reconnu dans le sang, le sang alors, a parlé à l’esprit. Ce jour-là, en nous souvenant de nos origines, nous avons pris conscience de ce que nous incarnons. L’Histoire, d’un seul coup, a illuminé le présent et éclairé l’avenir. La voie était tracée, les responsabilités établies, les décisions étaient prises. L’esprit révolutionnaire était né. »

« Nous sommes fous de douleur mais jamais de désespoir car cette torture a enflammé en nous, comme Achille dans l’Iliade, la fureur sauvage de combattre et de vaincre ! Oui : Nous sommes fous de la douleur que nous fait subir une Europe oublieuse de son sang, oublieuse de son esprit, oublieuse de ses dieux mais en même temps fous de la foi la plus folle dans l’esprit qui l’a fait naître, dans le génie qui l’a fondée, et, pour cela, et à cause de cela même, fous de la certitude la plus inébranlable que l’Europe, qui n’est qu’en dormition, se réveillera : comme l’éveil succède au sommeil, comme le jour succède à la nuit, comme la naissance succède à la mort. »

« Nous sommes en guerre ! La guerre de la globalisation contre les Peuples – et nous incarnons la conscience des Peuples ; la guerre de l’arbitraire contre le droit – et nous sommes les sentinelles du droit identitaire ; la guerre du nomadisme contre l’enracinement – et nous sommes les défenseurs du droit imprescriptible d’un peuple à une terre ; la guerre de l’or et de la marchandise contre le Sang et le Sol ­– et nous sommes les incarnations vivantes de ce sang et le peuple de ce sol. La même guerre, deux fois millénaire, qui commença entre Athènes et Jérusalem et qui se poursuit avec des moyens décuplés entre une Jérusalem newyorkisée et une Athènes élargie au monde blanc tout entier. Une guerre de tous les instants, de tous les lieux, de tous les pays qui soumet nos peuples au harcèlement permanent d’un ennemi pluriforme qui parle toutes les langues et porte toutes les peaux, ourdit les mensonges et les perfidies les plus invraisemblables et mène, d’un bout à l’autre du globe, la guerre la plus dangereuse et la plus totale que de mémoire d’homme on n’ait jamais connu, qui fait abdiquer les plus faibles, endort les instincts, détruit les racines. Guerre politique par le biais des gouvernements au pouvoir et des partis à leur laisse ; guerre juridique par le biais de magistrats transformés en inquisiteurs ; guerre répressive par le vote de lois de plus en plus arbitraires ; guerre publicitaire des proxénètes du métissage à tous les degrés et à tous les endroits, sur l’affiche du métro comme dans la salle d’attente de la gare, dans le catalogue de la Redoute ou le prospectus du supermarché, la notice du musée ou la lettre pastorale du village ; guerre nutritionnelle et énergétique qui impose les aliments manipulés des sociétés criminelles à la Monsanto ; guerre médiatique de la presse écrite, parlée, télévisée ; guerre culturelle des arts dégénérés ; et par-dessus tout guerre pédagogique des éducateurs-assassins qui s’emparent de l’âme des enfants et ahurissent leur cerveau de toutes les démences égalitaires ! »

« La vision identitaire est devenue, pour ceux qui la défendent comme pour ceux qui la combattent, le point focal autour duquel vont surgir les nouvelles fractures du XXIe siècle, de part et d’autre d’une césure qui s’élargit chaque jour un peu plus entre deux des manières d’appréhender le monde, entre deux visions de l’avenir, entre deux conceptions de l’homme : d’un côté le monstre froid dont parle Nietzsche, et ses masses étatiques de technocosme égalitaire et universaliste ; d’autre part, les communautés ethniques, politiques et culturelles qui incarnent la polyphonie planétaire naturelle, les patries charnelles annoncées par Saint-Loup (dans l’esprit de Saint-Loup, l’Europe des ethnies et des patries charnelles est la forme politique qui a le plus de force résister aux idéologies massifiantes – libéralisme, christianisme, communisme – cachées sous le masque de l’universalisme et de l’internationalisme). L’idéologie de la société dite multiraciale mais en réalité raciste-phobique ment à chaque fois qu’elle dit que les différences n’existent pas. Elle mutile à chaque fois qu’elle transforme les couleurs et les visages. Elle tue des peuples et des races chaque fois qu’elle les mélange. Ce mensonge, cette mutilation, cette mort, qui cumule toutes les horreurs, méprise toutes les libertés, uniformise toutes les différences, s’appelle l’occidentalisation du monde. Au nom de l’identité, le combat a commencé. Le choc définitif, le premier d’une nouvelle ère. » (Dans la lutte pour l’Être, 1997)

« Aucun parti, aucune église, aucune institution ni aucune autotité au monde ne peut et ne pourra m’interdire d’être et de rester un esprit libre, fidéle aux idéaux garants du maintien des lois identitaires éternelles. »

« Le paganisme – tout au moins le paganisme tel que, d’abord, je le ressens et tel que, ensuite, je le comprends (après l’avoir réellement intériorisé au contact de Saint Loup)- m’apparaît comme beaucoup plus qu’un regard qui embrasse le monde, ce regard fut-il d’explication, de réconciliation ou d’harmonisation. Aux moments de recueil, d’études mais aussi d’interrogation sur l’avenir : devenir de nos peuples menacés sur leur sol et dans leur sang, il m’emplit chaque fois de nouvelles espérances et de nouvelles certitudes et je l’éprouve alors dans l’apaisement infini du regard souverain qui restitue dans sa pensée et ré-installe dans son harmonie originelle tout ce que vingt-et-un siècles de dérive obscurantiste, de rupture dualiste et d’éradication égalitariste ont extirpé des matrices naturelles, amputé, mutilé, jusqu’à criminaliser aujourd’hui les peuples qui ont encore conscience de leur identité ou à diaboliser les cultures qui veulent vivre leur originalité ; regard qui monte des racines, qui relie le droit du sol à la loi du sang, regard identitaire qui nous réapprend que la dignité de l’homme n’est concevable que dans le respect imprescriptible de ses différences et, à cause de cela même, regard du sang qui se métamorphose en esprit, dit Nietzsche, regard de l’esprit et du sang, dit Knut Hamsun, enclin alors à deviner et à saisir, plus loin que soi, la « fibre nerveuse qui unit l’homme à l’univers et aux éléments » car une race regarde le monde avec les yeux de ses mythes, écoute ses dieux avec les oreilles de ses archétypes, parle aux arbres, aux bêtes et aux hommes dans la langue ancestrale de sa culture. Mais je ressens aussi le paganisme comme le regard que la nature se porte à elle-même quand ses dieux, dont les actes miment et répètent les archétypes de l’harmonie primordiale, dévoilent à la conscience des hommes les lois qui fondent l’ordre du monde. Autant dire que le paganisme m’apparaît comme un élément constitutif du monde et de la vie. »

Alphonse de Lamartine – « Il y a pire que l’esclavage : avoir des esclaves et les nommer citoyens. »

David Lane – « Une prolifération de lois et la perte de liberté qui en résulte sont un signe directement proportionnel de maladie spirituelle dans une Nation.« 

« Le discernement est la marque d’un peuple sain. Dans une Nation, une Civilisation, une culture ou une race malade ou mourante, l’essentiel est abandonné au profit des apparences. »

« Les systèmes politiques, économiques et religieux peuvent être détruits et ressuscités par les hommes, mais la mort d’une race est éternelle. »

« Les tyrannies disent ce que l’on doit penser ; les hommes libres apprennent à penser. »

« La différence entre un terroriste et un patriote est le contrôle de la presse. »

« Une nation avec une aristocratie d’argent, d’avocats et de marchands, deviendra une tyrannie. »

« Nous devons assurer l’existence de notre peuple et un avenir pour les enfants blancs. »

« Les universalistes essaient de détruire l’intégrité de toutes les races, nations et cultures en mélangeant tous les peuples en une seule masse d’esclaves et de sujets obéissants. S’opposent aux Universalistes ceux qui restent fidèles à la plus haute loi de la Nature qui est la préservation de sa propre espèce. Étant donné que cette loi suprême exige un territoire exclusif ainsi qu’une règle souveraine sur ce territoire, le conflit est inévitable. De plus, parce qu’une religion indigène issue de l’âme d’un peuple préservera ce peuple, une religion universaliste n’en tolérera aucune autre. »

Gustave Le Bon – « Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles dédaignent les preuves qui ne leur plaisent pas, préférant déifier l’erreur si elle les séduit. Celui qui peut leur fournir des illusions est facilement leur maître ; celui qui tente de détruire leurs illusions est toujours leur victime. Un individu au sein d’une foule est un grain de sable parmi d’autres grains de sable, que le vent remue à sa guise. »

Jean-Yves Le Gallou – « Il ne s’agit pas d’affirmer dans l’absolu la supériorité de notre civilisation sur les autres mais de refuser toute forme de repentance. Et de rappeler que notre identité ne vient pas de nulle part mais a pour origine notre hérédité et notre héritage européens. Il s’agit aussi d’affirmer notre volonté de respecter notre civilisation, d’en reprendre et d’en enrichir les traditions et de les transmettre à nos descendants. Bref de refuser la table rase et le grand remplacement génocidaire. »

Jean-Marie Le Pen – « Le dommage de Mai 68 est encore plus vaste, car au désastre de l’école s’ajoute celui des médias, de la littérature, des arts, du cinéma et de la télévision, de tout ce qui sous le mot impropre de culture influe sur la mentalité des hommes, et dont la maîtrise, le philosophe italien Gramsci l’a rappelé à toute une génération de révolutionnaires, permet de prendre le pouvoir sans peine. Cela ne s’est pas fait en un jour. Considéré sous l’angle de la violence physique, Mai 68 fut une parodie de révolution, une mascarade, mais il a engagé subrepticement un processus que rien n’arrête. Je chercherai dans la technique de la gravure la comparaison propre à me faire comprendre. La gravure n’est pas un art mineur, elle demande une réflexion technique et philosophique non négligeable, comme la révolution. En gros, vous pouvez entailler la plaque de cuivre que l’on va encrer pour imprimer, de deux manières. Soit directement avec un burin, c’est long, difficile et cela demande de la force : c’est la révolution à l’ancienne, brutale et aléatoire. Soit vous choisissez ce que l’on appelle l’eau-forte. Sur la plaque de cuivre vous passez un vernis qui résiste à l’acide, puis vous entaillez cette couche protectrice avec une pointe fine d’un maniement souple qui permet un dessin fin, avant de plonger la plaque dans un bain d’acide. En quelques heures les parties dont vous avez ôté la protection sont attaquées par l’acide et prêtes à recevoir l’encre. Ainsi a procédé la révolution de Mai 68. »

Giacomo Leopardi – « En étouffant les émeutes et les troubles civils au lieu de les réguler comme cherchaient à faire les Anciens (…) la civilisation n’a pas assuré l’ordre, mais la pérennité d’un désordre immuable et la nullité de la vie humaine. »

« J’eus toujours en dégoût les âmes sans noblesse. Le fourbe au verbe faux, le lâche au cœur pervers. Mais à présent tout acte indigne et vil me blesse. Le spectacle du mal sous ses masques divers, et quel qu’en soit son but, toute humaine bassesse, toute hideur morale et toute abjection m’emplit l’âme de honte et d’indignation. Cet âge absurde et vain dans ses vœux futile, repus de niaiserie, enflé d’orgueil banal, qui hait le Vrai, le Grand, le Beau, tout Idéal ! Qui réclame à hauts cris le réel et l’utile.« 

Henri Levavasseur – « L’Europe n’est pas le produit d’une idéologie dont l’horizon se limite à la promotion d’identités ‘’plurielles’’ et interchangeables : elle possède un génie propre, aux racines plurimillénaires. De leurs lointains aïeux, les Européens n’ont pas seulement reçu un héritage linguistique, mais une vision du monde commune. Cet héritage ne crée aucun droit : il oblige. Telle est aujourd’hui notre tâche : revendiquer ce que nous sommes. »

« À l’appétit du “toujours plus”, l’homme enraciné oppose la logique du “toujours mieux”. Fidèle à une éthique en accord avec sa tradition, il cesse de regarder la terre comme un fond inépuisable, dont l’exploitation effrénée permet d’entretenir l’illusion d’une trajectoire de croissance, de développement et de progrès infinis. Faisons nôtre la parole de Friedrich Hölderlin : “l’homme habite en poète”, afin que le monde redevienne peu à peu pour nous ce que Martin Heidegger appelle “l’union des quatre” : “la terre, le ciel, les mortels et les dieux”. C’est sur ce socle qu’il devient possible d’élaborer une écologie “à l’endroit”, capable d’apporter une réponse à la hauteur des défis à venir. »

Erik Lhomme – « C’est quand une société et une époque s’emploient à anesthésier les esprits, à endormir les âmes et à s’emparer des cœurs pour les contraindre à suivre des chemins tracés, que les révoltes sont nécessaires. Même les plus folles. Surtout les plus folles. »

« Il y a des caméras partout. C’est la manie de notre époque. Espionner les gens. Les surveiller. Et ils en redemandent, les cons ! L’impression d’être en sécurité ! C’est pas ça qui les empêchera d’être volés, violés, battus. Ça aide à retrouver les coupables il paraît. La belle affaire. Ça ne te rend pas ta gueule, ni ton pognon, ni ta virginité. »

« Dans le vent pur des hauteurs, nous comprenions à quel point nous étions assistés, infantilisés, déresponsabilisés en Occident, à quel point nous avions peu de prise sur notre propre existence. A quel point il était urgent de désintoxiquer notre esprit, de lui rendre sa capacité de jugement et de décision. »

Pentti Linkola – « Je n’ai jamais pu trouver deux personnes parfaitement égales : l’une aura toujours plus de valeur que l’autre. Et de nombreuses personnes, en fait, n’ont tout simplement aucune valeur. »

Giorgio Locchi – « Le propre de cette maladie des sociétés qu’est la décadence, c’est l’aveuglement qui frappe le malade à propos de son état. Plus il est malade, plus il croit être en bonne santé. Une société décadente est ainsi d’autant plus progressiste qu’elle avance vers l’issue fatale de sa maladie. »

Howard Phillips Lovecraft – « Seul un foutu imbécile peut s’attendre à ce que les gens d’une tradition se sentent à l’aise lorsque leur pays est inondé de hordes d’étrangers qui – qu’ils soient égaux, supérieurs ou inférieurs biologiquement – sont aux antipodes du point de vue physique, émotionnel et intellectuel, qu’une fusion harmonieuse est pratiquement impossible. »

Bernard Lugan – « Il y a deux types d’hommes qui se reconnaissent au premier coup d’œil : les « fachos » et les homos ».

(Eloge à Dominique Venner) « Quand l’autorité s’est délitée, quand les repères sont perdus, quand le plus grand nombre désespère, quand certains se laissent aller à des sentiments morbides en voyant dans la défaite une pénitence divine, alors, se lèvent de petits groupes sachant ce qu’ils sont, d’où ils viennent, où ils vont et ce qu’ils veulent. Rassemblés derrière un chef figure de proue alliant éthique et esthétique, ils sont les Rebelles. »

Jean Mabire – « Écrire doit être un jeu dangereux. C’est la seule noblesse de l’écrivain, sa seule manière de participer aux luttes de la vie. »

« Nous savons, depuis Héraclite, que la vie est un combat et que la paix n’est que la mort. Notre religion se veut d’abord culte des héros, des guerriers et des athlètes. Nous célébrons, depuis les Grecs, les hommes différents et inégaux. Notre monde est celui du combat et du choix, non celui de l’égalité. L’univers n’est pas une fin, mais un ordre. La nature diversifie, sépare, hiérarchise. L’individu, libre et volontaire, devient le centre du monde. Sa plus grande vertu reste l’orgueil – péché suprême pour la religion étrangère. Dans notre conception tragique de la vie, la lutte devient la loi suprême. Est un homme véritable, celui qui s’attaque à des entreprises démesurées. Une même ligne de crêtes unit Prométhée à Siegfried. »

« Désormais, il nous faut revenir au mythe vital par excellence, au mythe du soleil, au mythe de Thulé. Ce qui va renaître n’est pas un souvenir historique mais la foi de l’éternelle Hyperborée. Nous retrouverons, dans la certitude et la fidélité, les gestes de nos ancêtres. »

« Je ne vois pas pourquoi il faudrait protéger les races animales et laisser périr les peuples tels qu’ils ont été façonnés par des milliers d’années de longue patience. La véritable écologie, c’est de sauvegarder les baleines. Mais aussi les Touaregs et les Zoulous, les Basques et les Serbes, les Flamands et les Bretons, les Ecossais et les Estoniens. »

« Nous luttons pour que les hommes restent fidèles à leur nature profonde, pour qu’ils s’épanouissent dans tous les domaines, pour qu’ils continuent à former des communautés « à l’échelle humaine », de la famille à l’Europe, de l’usine à la région. Nous luttons contre le temps des robots que nous préparent ensemble les techniciens du monde communiste et ceux du monde capitaliste. Nous refusons « les temps modernes » parce qu’ils procèdent d’une même vision illusoire et irréelle. »

« Nous avons perdu notre âme parce que nous avons perdu le sens des valeurs communes qui formaient l’antique “sagesse” de nos peuples. Il nous faut faire revivre l’âme des Hyperboréens et “redéfinir” Dieu. Car le sacré ne se trouve pas hors de nous, mais en nous. Car Dieu n’est pas du Ciel, mais de la Terre. Car il ne nous attend pas après la mort, mais nous offre la création de la vie. Dieu n’est pas surnaturel et il n’est pas transcendant. Il est au contraire la Nature et la Vie. Il est dans le soleil et dans les étoiles, dans le jour et dans la nuit, dans les arbres et dans les flots. Dieu naît avec les fleurs et meurt avec les feuilles. Dieu respire avec le vent et nous parle dans le silence de la nuit. Il est l’aurore et le crépuscule. Et la brume. Et l’orage. Dieu s’incarne dans la Nature. La Nature s’épanouit sur la Terre. La terre se perpétue dans le Sang. »

« Une fois libéré de l’idée d’un Dieu unique, donc totalitaire, et de ses commandements numérotés et absolus, on découvre vite que le sacré peut être multiple, c’est-à-dire vivant. Alors s’estompe la rigoureuse frontière entre les dieux, les héros et les humains. La religion n’est plus extérieure mais intérieure. Le divin se trouve au cœur de chacun. Démarche essentielle du paganisme. »

« Les deux mots qui reviennent sans doute le plus souvent dans les vieilles chroniques européennes ce sont ceux de volonté et d’honneur. L’espoir, par contre, n’a pas de sens. Ce qui compte, c’est d’accomplir ce qui doit être accompli et non pas ce qui doit aboutir à un succès. Je retrouvais dans toute cette morale de l’antique Hyperborée un certain goût pour les causes désespérées. Une attitude de perpétuel défi, où le goût du risque s’exaltait jusqu’à dépasser toutes les limites du possible. Les guerriers spartiates de Léonidas aux Thermopyles restent, en ce sens, de purs Hyperboréens. Le bien s’identifie avec l’action d’éclat, qui prend une valeur en soi-même. Ce qui compte, ce n’est pas le plaisir, mais le devoir. Non pas la soumission à un autre que soi-même mais la liberté de s’imposer une conduite conforme à l’imprescriptible honneur de sa lignée et de son clan. »

« Nous portons la flamme en nous. La flamme pure de ce feu de foi Pas un feu de mémoire. Pas une branche de feu de pitié. Mais un feu de joie et de gravité qui devrait être allumé sur notre terre. Là, nous voulons vivre et accomplir notre devoir humain sans nier aucune des particularités de notre sang, de notre histoire, de notre foi entrelacées dans nos mémoires et dans nos veines… »

Enzo Maccarinelli – à propos de la différence entre les femmes transgenre et les femmes naturelles : « Mettez cent femmes et dix hommes sur une île abandonnée et dans cent ans vous aurez une société d’hommes, de femmes, de filles et de garçons. Mettez cent femmes trans et dix hommes sur une même île, et dans cent ans vous trouverez les squelettes de cent-dix hommes. C’est scientifique. Mentir n’aide pas votre santé mentale. »

Andreï Makine – « Si on vous remplace, c’est que vous êtes résignés à être remplaçable. Celui qui ne veut pas l’être se bat. »

Stephen McNallen – « Ceux qui pensent que les anciennes méthodes ont disparu à jamais, ceux qui croient que le christianisme a définitivement consumé les dieux du Nord, doivent replacer les choses dans la perspective du temps. Nous sommes Européens depuis trente ou quarante mille ans. Pendant environ quatre-vingt-dix-sept pour cent de ce temps, nous avons suivi une religion autre que le christianisme. Il n’existe aucune preuve que le christianisme soit autre chose qu’une phase passagère. Odin, sur son siège au Valhalla, rit. »

Jean-Jacques Matringhem – « Contre le cosmopolitisme et le métissage généralisé, Saint-Loup propose cette forme d’ethno-différencialisme qu’est le concept de « patrie charnelle » : une communauté ethniquement homogène sur un territoire délimité par l’histoire, la langue et les coutumes. Cette notion politique permet, bien mieux que l’état-nation ou le concept universaliste de « citoyen du monde » de préserver les différences, ou pour mieux dire, les identités. La patrie charnelle est le rempart à l’impérialisme et à l’uniformisation, fille perverse du multiculturalisme ultra-libéral. « 

Olivier Maulin – « Soudain j’ai tout compris. Je vivais en prison depuis ma naissance. On m’avait retiré tout ce que mes ancêtres avaient mis des milliers d’années à construire et on m’avait donné quelques hochets à la place : du confort, quelques années de plus à vivre (en me faisant chier), des DVD, une carte d’électeur trafiquée. On m’avait dressé comme les clébards du lieutenant. Dressé à aller travailler pour les autres tous les matins. Dressé à voter pour des parasites qui vivraient sur mes impôts. Dressé à accepter d’être fiché de tous les côtés. Dressé à désirer ce que l’on attendait de moi. Dressé à accepter l’idée de finir en maison de retraite. Dressé à ne plus rien contrôler de ma vie. Dressé ! La voilà, la civilisation ! Après l’ivresse, j’avais une solide gueule de bois. Il fallait s’échapper, tout brûler, tout casser… »

« Vous avez tout détruit, tout souillé, tout humilié ! Tout mélangé, tout mercantilisé, tout transformé en fric ! Oh bien sûr que vous avez la loi avec vous… Vous avez toujours la loi avec vous ! C’est vous, la loi ! Mais nous, on a les oiseaux, la beauté, l’histoire et nos morts ! Et on ne se laissera pas faire ! »

Stephen McNallen – « La différence est une mentalité : le christianisme, le judaïsme et l’islam croient que les hommes et les femmes ont besoin d’une liste précise de règles, généralement formulées dans un sens négatif : « tu ne feras pas » certaines choses. Asatru le voit différemment et enseigne l’adhésion aux principes issus des coutumes de la tribu et de la nation, où les gens ont développé des moyens efficaces de se relier les uns aux autres pendant des milliers d’années. Il n’y a pas de Dix Commandements dans notre foi, mais les sagas, les épopées héroïques et les poèmes eddiques offrent des centaines d’exemples de comportement idéalisé ».

Louis Ménard » Le polythéisme est la religion des hommes libres, le monothéisme est celle des esclaves ». (Lettre d’un mort : Opinion d’un païen sur la société moderne – 1895)

Thibault Mercier – « Quand les particularismes locaux s’effacent sous le rouleau compresseur de l’américanisation, il devient alors plus que crucial d’œuvrer à préserver les identités collectives. Nous devons résister aux troupes d’occupation mentale qui avancent masquées sous couvert de liberté religieuse, de droit au développement économique et de droits de l’homme. »

Olivier Meyer – « Cette révolution culturelle passe par une transmutation des valeurs pour surmonter l’héritage judéo-chrétien qui a fait de l’homme européen un homme à la morale d’esclave. Une fois cette révolution culturelle accomplie, l’homme européen peut redevenir lui-même, c’est-à-dire un Hyperboréen à la morale de maître, un Surhomme. » (Nietzsche Hyperboréen ou l’école du Surhomme)

Mads Mikkelsen – « Si vous dites croire en Odin et Thor, on vous tournera en dérision. Mais croire en un homme qui aurait changé de l’eau en vin et marché sur un lac ne pose aucun problème. »

Miltiade (avant la bataille de Marathon) – « Si nous les battons, ils ont une patrie où retourner. S’ils nous battent, nous n’avons nulle part où aller. »

Yukio Mishima – « Si quelque chose me semble vrai, je dois le dire, même si j’en meurs. »

Arthur Moeller van den Bruck – « Être conservateur ne veut pas dire dépendre de ce qui a été hier, mais vivre de ce qui est éternel. »

« Partout, il y a une renaissance lorsqu’un peuple jeune, créatif, capable de culture et d’art, entre en contact avec l’Antiquité et en prend conscience. »

« Une nation est une communauté de valeurs ; et le nationalisme est une conscience des valeurs. »

Thomas Molnar – (à propos de l’internationalisme américain qui installera) « des chevaux de Troie en Europe qui déverseront des légions d’agents […] au nom de la paix, du libéralisme, des entreprises transnationales, de la pédagogie modernisée, de la liberté du commerce et autres cadeaux — que l’Europe n’osera même pas craindre à l’instar des Troyens plus prudents. »

Henry de Montherlant – « Peur de déplaire, peur de se faire des ennemis, peur de ne pas penser comme tout le monde, peur de peindre la réalité, peur de dire la vérité. Mais, en fait, ce sont tous les Français qui, depuis le collège et dès le collège, ont été élevés sous le drapeau vert de la peur. Résultat : le mot d’ordre national « Pas d’histoires ! » ; la maladie nationale : l’inhibition. Depuis près d’un siècle, depuis vingt ans plus encore, on injecte à notre peuple une morale où ce qui est résistant est appelé « tendu », où ce qui est fier est appelé « hautain », où l’indignation est appelée « mauvais caractère », où le juste dégoût est appelé « agressivité », où la clairvoyance est appelée « méchanceté », où l’expression de « ce qui est » est appelé « inconvenance », où tout homme qui se tient à des principes et dit non, est décrété « impossible », où tout homme qui sort du conformisme est « marqué » (comme on dit dans le langage du sport) ; où la morale se réduit presque uniquement à être « bon », que dis-je, à être « gentil », à être aimable, à être facile ; où la critique se réduit à chercher si on est moral, et moral de cette morale-là. Avec cela le christianisme ou ses séquelles, l’humanitarisme, le pacifisme, l’irréalisme, la place donnée aux « affaires de cœur », un énervement systématique et sans cesse plus accentué de la justice, et vous aurez la morale, je veux dire la glaire horrible déglutie par l’école, par le journal, par la radio, par le ciné, par la tribune et par la chaire et dans laquelle baigne et marine notre malheureux peuple depuis nombre de générations. »

Oswald Mosley – « Pour un tel objectif, il faut l’emprise d’un mouvement organisé et discipliné, saisissant et imprégnant chaque aspect de la vie nationale. Dans chaque ville et village, dans chaque institution de la vie quotidienne, la volonté de la minorité organisée et déterminée doit soutenir un effort continu. Dans les moments de difficulté, la dissolution et le désespoir, elle doit être le noyau dur autour duquel les faibles et les découragés peuvent se rallier. »

Jean-Jacques Mourreau – « La lutte pour les « patries charnelles » ne relève pas de la frigide rationalité, mais de la passion, de la volonté et du rêve de quelques hommes, à la fois activistes et poètes, qui ont la nostalgie d’un devenir identitaire. Comme tous les poètes, ces hommes sont des rebelles. Ils refusent le carcan des géométries abstraites qui séparent arbitrairement des communautés de culture et de destin. Ils contestent la loi imposée du dehors et participent au mot d’ordre du Sinn Fein, lequel signifie « nous-mêmes ». Rebelles, ils s’insurgent contres les humiliations imposées par les États modernes négateurs des identités, méprisant des anciennes allégeances et suspicieux à l’égard de la permanence des différences. Poètes fraternels, porteurs de la « longue mémoire », ils s’insurgent contre l’amnésie imposée et se lèvent au nom de peuples qui ne se souviennent plus très bien et chez lesquels, dans le secret d’une langue partagée, ils réveillent des rêves anciens et des rites perdus, parfois plus que millénaires.[…] Chez Saint-Loup, l’apologie des « patries charnelles » est inséparable d’une vision païenne de l’histoire et du vivant. Pour lui, les peuples participent au « chant de la terre » et portent en eux leur propre transcendance. » (Rencontres avec Saint-Loup.)

Miyamoto Musashi – « D’une façon générale, la voie du guerrier est l’acceptation de la mort. »

Benito Mussolini – « La violence n’est pas une morale. Elle est parfois morale… Lorsque notre violence résout une situation gangrenée, elle est très morale, elle est sacrée, nécessaire. »

« Le silence est la seule réponse que l’on doit faire aux idiots. Là où l’ignorance parle, l’intelligence ne doit pas donner de conseils. »

« Nous ne croyons pas aux programmes dogmatiques… nous nous permettons le luxe d’être aristocratiques et démocrates, conservateurs et progressistes, réactionnaires et révolutionnaires, légaux et illégaux. »

Claude Nancy – « Le mondialisme, imposé partout par les banquiers apatrides, ne représente que le dernier avatar de la philosophie maçonnique de la Révolution française de 1789 ; avatar affublé de l’étiquette démocratique afin de mieux masquer la dictature de cette nomenklatura cosmopolite. Tous ceux qui se laissent encore prendre à ce mirage démocratique sont d’incurables imbéciles. Ils sont incapables de comprendre qu’une véritable démocratie doit aller du bas vers le haut, ce qui la rend seulement applicable à des communautés réduites, dans lesquelles tous les membres se connaissent intimement et peuvent donc choisir un leader en toute connaissance de cause. »

Friedrich Nietzsche – « Il ne faut pas avoir le choix : disparaître ou s’imposer. »

« Seul ce qui est sale a besoin de se cacher » (spéciale dédicace à la franc-maçonnerie)

« Le mouvement démocratique est non seulement un stade décadent de l’organisation politique, mais un stade décadent où l’homme s’amoindrit, tombe dans la médiocrité et s’amoindrit. »

« Mon paradis se trouve à l’ombre de mon épée. »

« Le mouvement démocratique est l’héritier du mouvement chrétien et de la niaiserie théologique des chrétiens. Le poison de la doctrine des « droits égaux pour tous », on ne l’a jamais semé plus systématiquement que le christianisme. »

« A quoi se mesure la liberté chez les individus comme chez les peuples ? A la résistance qu’il faut surmonter, à la peine qu’il en coûte pour arriver au sommet. Le type le plus élevé de l’homme libre doit être recherché là où constamment la plus forte résistance doit être vaincue : à cinq pas de la tyrannie, au seuil même du danger de la servitude. »

« Une grande séduction combat de notre côté, la plus grande peut-être qu’il y ait – la séduction de la Vérité… »

Roger Nimier – « Aujourd’hui, les palais sont pleins de vers qui commandent et qui rampent. Des individus avides et gras parlent à notre place. Chaque Français semble avoir un ambassadeur sur la terre et cet ambassadeur est une tantouze ou un maquereau. »

Catherine Nixey (The Darkening Age, la destruction chrétienne du monde classique) – « Dans un spasme de destruction jamais vu auparavant et qui a consterné de nombreux non-chrétiens qui le regardaient au cours des quatrième et cinquième siècles, l’Église chrétienne a démoli, vandalisé et fondu une quantité tout simplement stupéfiante d’art. Des statues classiques ont été renversées de leurs socles, abîmées, souillées et déchirées d’un membre. Les temples ont été rasés jusqu’à leurs fondations et brûlés jusqu’au sol. Un temple largement considéré comme le plus magnifique de tout l’empire a été rasé. De nombreuses sculptures du Parthénon ont été attaquées, les visages ont été mutilés, les mains et les membres ont été coupés et les dieux ont été décapités. Certaines des plus belles statues de tout le bâtiment ont presque certainement été détruites à l’époque broyé en gravats qui ont ensuite été utilisés pour construire des églises. Les livres qui étaient souvent stockés dans les temples souffraient terriblement. Les vestiges de la plus grande bibliothèque du monde antique, une bibliothèque qui détenait autrefois peut-être 700 000 volumes, furent ainsi détruits par les chrétiens. Il a fallu plus d’un millénaire avant qu’une autre bibliothèque ne se rapproche même de ses collections. »

Tamura Nobuyoshi – « Si tu ne sais pas tuer, tu ne sauras pas sauver une vie ».

Revilo Pendleton Oliver – « La mentalité idéale pour les chrétiens est celle des végétaux, mais comme il n’est pas tout à fait possible d’atteindre cet état béni, les chrétiens s’enorgueillissent de proclamer qu’ils sont des moutons, les plus stupides de tous les mammifères, incapables de se défendre, ne vivant que pour se nourrir, se multiplier. , et être tondu périodiquement. Les chrétiens aiment même se décrire comme des agneaux qui regardent sans comprendre le monde qui les entoure. »

Laurent Obertone – « Le maître et la promenade, voilà l’horizon social-démocrate. C’est un fantasme de chien qui a ruiné l’Europe. »

« La formation de l’oligarchie même est tout à fait dévirilisée. Selon la légende, Wellington disait que l’Angleterre avait remporté Waterloo sur les terrains de jeu d’Eton. Combien de batailles la France va-t-elle perdre à la machine à café de Science-Po ? »

« Populiste », c’est quand tu sens que le populaire ne sera pas du tout de gauche. »

Francis Parker Yockey – « L’Amérique est une colonie dégénérée de l’Europe où un élément parasite et non occidental gouverne. »

« La race est le matériel de l’Histoire, elle est le trésor qu’une population apporte à une Idée. Plus les instincts raciaux d’une population sont forts, plus sa promesse de victoire est grande. Par conséquent, tout ce qui touche à la force de ces instincts est l’ennemi de la signification supérieure de la race, et même de son existence. Ces instincts sont l’auto-préservation, la fécondité, l’accroissement de puissance. Sans ces instincts, il n’y a pas d’Idée, pas d’Histoire — il y a seulement une collection de grains de sable humains — et plus tard une pyramide de crânes érigée par des barbares extérieurs. »

« Pour eux, une longue vie est une bonne vie. Dans cette mentalité, on juge une vie courte et héroïque comme triste et non inspirante. L’héroïsme est considéré comme insensé, puisque la vie prolongée indéfiniment est le but du « progrès. »

Douglas Pearce – « La discipline doit venir de vous-même et non de ce que quelqu’un vous dit de faire. Nous pensons qu’il y a beaucoup de gens qui aiment être contrôlés, comme s’ils en avaient besoin, ils évitent toute responsabilité, et c’est un grave manque de dignité. Nous, nous voulons contrôler nos propres vies, et voir le désordre dans lequel vivent la plupart des gens ne fait que nous encourager davantage. »

Patrick Pearse – « Aucune action violente n’est possible si elle n’est précédée d’une intense campagne d’explications. Les esprits doivent être déjà gagnés à la cause, sans même s’en rendre compte, quand surgit, au grand jour, l’opportunité. »

Charles Péguy – « On ne saura jamais ce que la peur de ne pas paraître suffisamment à gauche aura fait commettre de lâchetés aux Français. »

Périclès – « Il faut choisir : se reposer ou être libre. »

William L. Pierce – « Courage : telle est la clé de notre survie. Le courage est plus important que l’argent, plus important que l’intelligence, plus important que les amis, plus importants que les relations politiques ou d’affaires. Si nous ne sommes pas capables d’avoir le courage de nos convictions, alors ni nous-mêmes ni nos convictions ne survivront. »

Maximiani Portas (Savitri Devi) – « Dans la mesure où il accepte le christianisme, un Européen accepte l’esclavage de la pensée juive. »

Ezra Pound – « Si un homme n’est pas prêt à affronter un risque quelconque pour ses opinions, ou bien ses opinions ne valent rien, ou bien c’est lui qui ne vaut rien. »

« Cette guerre n’est pas née des caprices de Hitler ou de Mussolini. Cette guerre fait partie de la guerre millénaire entre les usuriers et les travailleurs, entre l’usurocratie et tous ceux qui font une journée de labeur honorée par le bras ou l’intellect. »

« Le bon Européen est l’homme qui choisit Rome contre la Judée, l’héritage gréco-romain contre la morale judéo-chrétienne. »

« Un esclave est celui qui attend que quelqu’un vienne le libérer. »

« Ensemble mille bougies produisent une splendeur. La lumière d’aucune de celles-ci n’assombrit celle des autres. Ainsi est la liberté de l’individu dans l’État idéal et fasciste. »

«  L’usure est le cancer du monde que seul le scalpel du fascisme peut extraire de la vie des nations. »

« La démocratie se définit actuellement en Europe comme un pays dirigé par des juifs. »

Costanzo Preve – « L’ennemi principal est à la fois le plus nuisible, et, surtout, le plus puissant. C’est aujourd’hui le capitalisme et la société de marché sur le plan économique, le libéralisme sur le plan politique, l’individualisme sur le plan philosophique, la bourgeoisie sur le plan social, et les États-Unis sur le plan géopolitique. L’ennemi principal occupe le centre du dispositif. Tous ceux qui, dans la périphérie, combattent le pouvoir du centre devraient être solidaires.« 

Jose Antonio Primo de Rivera – « Quand le monde est hors de ses gonds, il ne peut pas être redressé par des correctifs techniques : il a besoin d’un nouvel ordre complet. »

Philippe Randa – « L’œuvre de Saint-Loup qui me fut une révélation – le mot n’est pas trop fort – est le cycle des patries charnelles. C’est lui qui devait me faire prendre conscience de la nécessité d’une Europe des ethnies – l’Europe aux cent drapeaux ! – seul rempart contre l’avènement d’un grisâtre cosmopolitisme. »

Lucien Rebatet – « Mais c’est tout de même une spécialité française que celle des légendes burlesques de la glorification des assassins et du dénigrement des actes honorables. » (Dialogue de vaincus)

« Le haut clergé français forme, depuis trente années, l’une des plus remarquables collections de laquais et de chiens couchants, rampant devant le pouvoir, que puisse offrir l’histoire de la lâcheté humaine. » (Les Décombres)

John Rhys-Davies – (acteur Gallois interprétant le nain Gimli dans Le Seigneur des Anneaux) « Je pense que Tolkien annonce que certaines générations devront faire face à un défi. Si elles ne se réveillent pas pour faire face à ce défi, elles perdront leur civilisation. […] L’accroissement des populations musulmanes en Europe est une catastrophe démographique qui menace la civilisation occidentale. »

Rivarol – « Nous ne supporterons jamais que sur notre continent, l’étoile juive éclipse le soleil aryen ! » (7 juin 1951)

Jose Antonio Primo de Rivera – « L’Espagne que je me propose de bâtir, je la veux allègre et en jupe courte. »

Maurice Rollet – « Notre foi native vécue au quotidien, doit retrouver la véritable tradition européenne qui conjugue de façon harmonieuse le sens de l’enracinement et le goût de l’action. À la peur, à la soumission d’un Dieu unique qui sanctionne, il nous faut opposer l’honneur d’appartenir à un clan et d’œuvrer pour son bien-être. Il nous fait retrouver la fidélité à un héritage culturel et cultuel ancestral, pour l’enrichir et le protéger dans le millénaire qui s’annonce plutôt que de rester des spectateurs passifs d’un sacré insipide distribué par des incompétents. Je ne crois pas, mais je sais que nous sommes « L’esprit Européen toujours vivant ». »

« Je sais que beaucoup de choses sont à inventer, ou à réinventer. Mais, pour ce faire, ces rituels devront répondre à trois critères fondamentaux : sobriété, intensité, esthétique. »

Alfred Rosenberg – « La compassion enseignée par l’église chrétienne apparaît aussi sous une forme nouvelle dans l’« humanité » maçonnique et a abouti à la plus grande dévastation de toute notre vie. Dominée par le dogme de l’amour sans bornes, de l’« égalité de tous les hommes devant Dieu », et par la doctrine démocratique des droits de l’homme, qui ne tient aucun compte de l’idée de race et qui ne s’appuie sur aucune idée d’honneur enracinée dans une nation, la société européenne est pratiquement devenue une société protectrice du sous-homme, malade, invalide, criminel et pourri. »

« En l’an 150, le grec Marcion défend l’idée nordique d’un ordre du monde reposant sur une tension organique et des hiérarchies, en opposition avec la représentation sémitique d’une puissance divine arbitraire et de son despotisme sans limite. Pour cette raison il rejette aussi le “livre de la loi” d’une telle divinité, c’est-à-dire l’ancien testament hébreu. »

« Un peuple est perdu en tant que peuple, il est mort en tant que tel, si, regardant son avenir, il refuse d’y voir la continuité de son passé. Il ne s’agit pas de savoir quel fut ce passé : si une nation en arrive à renier véritablement et réellement les symboles de son premier éveil, elle a alors rejeté les racines de son être et de son devenir et elle s’est condamnée à la stérilité.« 

Louis Rougier – « Une civilisation avait existé où les hommes n’avaient jamais entendu parler de Moïse et du Christ, ignorant le péché originel et les sanctions infernales, ne jetant pas l’anathème sur la nature, déchue et corrompue, mais la suivaient comme une conseillère de sagesse et une institutrice de beauté. »

« La société païenne, du fait qu’elle admet l’existence de plusieurs dieux, admet la légitimité de tous les cultes dans les limites de la police des bonnes mœurs. Les religions de la Grèce et de Rome furent des religions sans dogmes, consistant avant tout en des fêtes civiques, requérant une simple adhésion extérieure sans viser jamais à régenter la pensée« .

Hans Ulrich Rudel – « Sont perdus seuls ceux qui s’abandonnent eux-mêmes. »

Hervé Ryssen – « On savait que le racisme n’était pas une opinion mais un délit. On savait que l’antisémitisme n’était pas une opinion mais un délit. On savait que l’homophobie n’était pas une opinion mais un délit. Mais l’on avait trop tendance à oublier que la recherche historiques aboutissant à la remise en question des conclusions du tribunal de Nuremberg de 1946 était aussi un délit. Un jour, la critique du féminisme ou de la transsexualité sera aussi considérée comme un délit. Et il en sera de même de la remise en question du délire climatique. Pour les mondialistes, vivre libre est un délit. « Ils sont comme ces machines de fer qui ne s’arrêtent que lorsqu’on les brise. (E. Junger cité in Le Coup de la loi). »

Saint-Loup – « Les libertés perdues ne se regagnent que l’arme au poing, toute l’histoire des peuples en témoigne. »

Guy Sajer – « Je suis totalement païen. Je révère le ciel, la nature, les choses qui m’environnent. Pour moi, le Sinaï ou le désert de Gobi me sont vraiment étrangers. Je me réfère à ce qui m’entoure, à mon monde à moi. Pas à celui des Orientaux. »

Andrzej Sapkowski – « Parce que la loi, ce n’est pas la jurisprudence, ce n’est pas un gros livre rempli de paragraphes, ce ne sont pas des traités philosophiques, des fadaises ampoulées sur la justice ni des clichés rebattus sur la morale et l’éthique. La loi, ce sont des routes et des chemins sûrs. Ce sont des ruelles où l’on peut se promener tranquillement même après le coucher du soleil. La loi, c’est la garantie pour tout un chacun de pouvoir dormir tranquille et d’être éveillé par le chant du coq. Et pour ceux qui enfreignent la loi : la corde, la hache, le pal et les fers rouges ! Un châtiment qui décourage les autres. »

Carl Schmitt – « Le concept principal de la démocratie est le peuple (Volk) et non l’humanité (Menscheit)… C’est pourquoi il ne peut y avoir de démocratie que si elle prend une forme politique fondée sur les peuples et non sur l’humanité. »

« Qu’un peuple n’ait plus la force ou la volonté de se maintenir dans la sphère du politique, ce n’est pas la fin du politique dans le monde. C’est seulement la fin d’un peuple faible. »

Adriano Scianca – « La bataille de notre époque, c’est la préservation du lien entre la terre, l’homme et ses dieux contre les attaques des monotheistes. Le paganisme possède quatre dimensions. La première est personnelle et nous invite à le vivre avec des rituels, des gestes, des méditations. La deuxième est symbolique, paganisme instinctif qui se doit d’être nourri par la force du feu sacré en nous, une puissance du geste révolutionnaire qui rompt avec l’époque vulgaire dans laquelle nous vivons. La troisième est culturelle. Nos antiquités grecques, romaines, germaniques, celtes et slaves doivent être valorisées et étudièes pour les défendre contre la calomnie historique et falsifiée. Et puis une dimension politique, la valorisation de notre identité prèchretienne, les créations du génie européen et des hauts lieux de la spiritualité de notre terre mère. »

Rudolf von Sebottendorf – « Nous ne connaissons pas la fraternité internationale, mais la seule fraternité du sang. Nous ne connaissons pas la liberté abstraite, mais la seule liberté pour chaque peuple d’être lui-même. Nous ne connaissons pas d’égalité universelle, mais un combat incessant. Chaque homme, chaque peuple, chaque race ne vit qu’en affrontant le danger. La vie reste un combat et l’égalité ne se trouve que dans la mort. »

Miguel Serrano – « Le marxisme communiste et le libéralisme capitaliste sont tous deux dirigés par les mêmes forces et tendent vers le même but ; détruire toute tradition basée sur le sang et la terre. »

Thomas Sheridan – « Le christianisme est une maladie mentale. Vous « nationalistes chrétiens » n’êtes pas des défenseurs de l’Europe, vous êtes des destructeurs de l’Europe. Vous n’êtes pas différent des musulmans. Je ne me tiendrai JAMAIS aux côtés des chrétiens. »

Jules Simon – « Celui qui étudierait avec soin toutes les doctrines communistes depuis Platon jusqu’à Babeuf, et depuis les Esséniens jusqu’aux Mormons, y trouverait toujours, à travers les différences introduites par le génie des créateurs et le caractère des peuples et des époques, cette grande et fondamentale analogie, qu’elles aboutissent à la négation la plus absolue de la liberté. La raison en est toute simple : on commence par réduire l’individu à ses propres forces en le dépouillant ; et la seule société possible pour lui dans cet état, c’est une société où il joue le rôle d’esclave. »

Otto Skorzeny – « Ma connaissance de la douleur, apprise au sabre, m’a enseigné à ne pas avoir peur. Et tout comme en duel il faut se concentrer sur la joue de son ennemi, il en va de même à la guerre. Décidez de votre cible et fondez sur elle. »

Alexandre Soljenitsyne – « Tenir ferme dans la lutte contre le mal. Ne jamais admettre le compromis. Préférer tout perdre, vie, salaire, conditions d’existence, plutôt que sacrifier sa conscience. »

« Si la plume n’est pas un poignard, elle ne vaut rien ».

« Pour se défendre, il faut être prêt à mourir, et cela n’existe qu’en petite quantité au sein d’une société élevée dans le culte du bien-être terrestre. »

Alain Soral – « Pour résumer : la République c’est la Loge, et la Loge c’est la Synagogue. »

Georges Sorel – « En attendant le jour du réveil, les hommes doivent travailler à s’éclairer, à discipliner leur esprit et à cultiver les forces les plus nobles de leur âme, sans se préoccuper de ce que la médiocrité démocratique pourra penser d’eux. »

Oswald Spengler – « Tel est le terrible danger qui menace : l’asservissement du monde par le commerce. La Société des Nations est aujourd’hui le moyen de cet asservissement ; elle constitue en effet un réseau de peuples possédant un “gouvernement” à l’anglaise, c’est-à-dire qu’elle est, en réalité, un réseau de provinces où, grâce à la corruption des parlementaires qui votent les lois, la population se trouve exploitée par l’oligarchie des marchands. »

« Le judéo-christianisme est la grand-mère du bolchevisme. »

« La vie de l’individu n’a d’importance que pour lui-même. Il importe seulement de savoir s’il veut fuir l’histoire, ou bien se sacrifier pour elle.« 

« L’honneur est une question de sang, non de raison. On ne réfléchit pas – sinon, on a déjà perdu l’honneur. »

« J’appelle tous ceux qui ont de la moelle dans les os et du sang dans les veines. Entraînez-vous, devenez des hommes ! Nous avons besoin de dureté, nous avons besoin d’un scepticisme courageux. Les pensées et les projets ne sont rien sans pouvoir. »

Madame de Staël – « Les païens ont divinisé la vie et les chrétiens ont divinisé la mort.« 

Robert Steuckers – « Notre combat est identitaire. Il vise un retour à notre identité, à notre authenticité profonde. »

Alfred Sudre – « Puisque le communisme est le résumé, la conclusion, l’expression la plus complète des utopies socialistes, c’est à le combattre que doivent s’attacher les hommes dévoués aux principes d’ordre et de liberté. »

John Swinton – « Le travail du journaliste consiste à détruire la vérité, à mentir sans réserve, à pervertir les faits, à avilir, à ramper aux pieds de Mammon et à vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien ou ce qui revient au même, son salaire. Vous le savez comme je le sais, alors qui peut parler de presse indépendante? Nous sommes les pantins et les vassaux des hommes riches qui se cachent derrière la scène. Ils tirent les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes des prostituées intellectuelles. » (à propos de la liberté de la presse, lors de son discours d’adieu au New York Times)

Maurice Talmeyr – « … et vous verrez, comme de vos yeux, tout un grand pays violemment transformé, par la plus évidente des conspirations, en une immense et véritable Loge. Vous le verrez jeté par force dans toute une succession d’épreuves maçonniques graduées, dont les premières dissimulaient le secret final, mais dont la dernière, dès le début, avait toujours dû être le meurtre du Roi, pour aboutir au but suprême et caché, c’est-à-dire à la destruction de la nationalité elle-même ! »

« … ce sont ces révolutionnaires en nombre infime, qui ne sont pas dix mille électeurs sur cent mille, qui ne représentent pas la France, et qui, avec cela, non seulement appellent leur révolution la Révolution française, mais lui attribuent encore, en outre, un caractère universel. Ils ne sont même pas la nation qu’ils disent être, ils prétendent néanmoins régenter toutes les autres nations au nom de cette nation qu’ils ne sont pas, et personne, cependant, ne songe à leur demander comment ils se trouvent ainsi représenter tout le monde en ne représentant personne ! »

André Tardieu« Pas plus qu’il n’y a, dans notre régime démocratique, liberté, il n’y a égalité. Liberté et égalité sont deux abstractions qu’on a présentées au peuple comme des réalités et qui ne sont que des abstractions… La Révolution a tout proclamé, sans rien créer. »

Andrei Tarkovski – « Je pense qu’un des aspects les plus tristes de notre temps est la destruction dans la mentalité des hommes de tout ce qui avait un lien conscient avec le beau. La culture de masse, destinée à des “consommateurs”, dans notre civilisation tout en prothèses, rend nos esprits infirmes. »

Tiziano Terzani – « N’apprenez pas à vos enfants à s’adapter à la société, à s’accommoder de ce qui s’y trouve, à faire des compromis avec ce qui est devant eux. Donnez leur des valeurs intérieures avec lesquelles ils peuvent changer la société et résister au projet diabolique de mondialisation de tous les cerveaux. Car la mondialisation n’est pas seulement un phénomène économique mais aussi un phénomène biologique, elle nous impose des désirs globaux et des comportements globaux qui finiront par induirent des changements dans notre façon de penser. Le monde d’aujourd’hui a besoin de rebelles, de rebelles spirituels. »

Sylvain Tesson – « Dans nos époques contemporaines, le héros ne ressemble pas à Ulysse. Deux mille ans de christianisme ont porté au pinacle le faible à la place du guerrier. Les sociétés produisent les héros qui leur ressemblent. »

« Moi je suis pour une écologie totale : radicale et cohérente. Préserver non seulement les anémones, mais aussi les cultures, les arts, les comportements et aussi les singularités des peuples. »

« Loups ! Ne restez pas en France, ce pays a trop de goût pour l’administration des troupeaux. Un peuple qui aime les majorettes et les banquets ne peut pas supporter qu’un chef de la nuit vaque en liberté. »

Jean Thiriart – « La race légendaire d’Agamemnon et d’Ulysse n’est pas morte. Les offenses qui nous ont été faites ont toujours été vengées et notre histoire n’a été qu’une suite d’Iliades. »

Thucydide – « La force de la Cité n’est pas dans ses remparts ni dans ses vaisseaux, mais dans le caractère de ses hommes. »

« Une nation qui fait une grande distinction entre ses érudits et ses guerriers verra ses réflexions faites par des lâches et ses combats menés par des imbéciles. »

Guillaume Travers – « Là où le monde traditionnel connaissait des hiérarchies distinctes, fondées sur la sagesse, l’honneur, le courage militaire, etc. le monde moderne aplatit tout et se contente de compter les fortunes. En ce sens, la modernité est une régression, l’étouffement de la spiritualité par la matière. » (Capitalisme moderne et société de marché. L’Europe sous le règne du marché).

Pedro Varela Geiss – « Nous vivons dans une société de conception maçonnique, d’inspiration talmudique et de financement sioniste, avec la collaboration nécessaire du marxisme culturel, des bien-pensants et des idiots utiles. »

Jean-Claude Valla – « Si les Européens parviennent à ne pas disparaître, ils retrouveront un jour les voies du sacré. En attendant, c’est le combat pour la survie qui doit mobiliser toutes nos énergies, combat qu’il faut mener avec des idées claires, sans se tromper d’ennemi. »

Dominique Venner – « N’ayant pas de civilisation de rechange, c’est à la mienne et à sa tradition que je m’attache. Elle m’a fait ce que je suis. Elle a façonné mon être, une certaine façon d’exister, de sentir, de penser, de me comporter devant la vie et devant la mort, l’amour et le destin. »

« Pour parvenir à un authentique réveil, il faudra encore que les Européens puissent reconquérir leur conscience indigène et la longue mémoire dont ils ont été dépossédés. Les épreuves qui viennent nous y aideront en nous affranchissant de ce qui nous a pollués en profondeur. C’est la tâche téméraire à laquelle je me suis voué. Au-delà de ma personne mortelle, j’ai la certitude que les brandons allumés ne s’éteindront pas. »

« Notre monde ne sera pas sauvé par des savants aveugles ou des érudits blasés. Il sera sauvé par des poètes et des combattants, par ceux qui auront forgé l’« épée magique » dont parlait Ernst Jünger, l’épée spirituelle qui fait pâlir les monstres et les tyrans. Notre monde sera sauvé par les veilleurs postés aux frontières du royaume et du temps. »

« La Nature comme socle, l’Excellence comme but, la Beauté comme horizon. »

« Comment peut-on être rebelle aujourd’hui ? Je me demande surtout comment on pourrait ne pas l’être. Exister, c’est combattre ce qui me nie. Être rebelle, c’est préférer se mettre tout le monde à dos que de se mettre à plat-ventre. »

« On prétend souvent que notre époque est celle de la mort des idéologies. En réalité, notre monde est idéologiquement saturé. Mais cela n’est pas perçu pour cette raison qu’une seule idéologie domine les représentations, bénéficiant d’un monopole qui l’a transformée en « norme ». Et cette norme est d’autant moins discutée qu’elle utilise à son profit une rhétorique morale qui masque sa très réelle intolérance à l’encontre de ce qui n’est pas elle-même. Cela explique que les médias de grande diffusion, hormis de légères nuances de forme, disent tous la même chose, offrant la même interprétation des événements passés ou présents. »

« L’image du stoïque chevalier m’a souvent accompagné dans mes révoltes. Il est vrai que je suis un cœur rebelle et que je n’ai pas cessé de m’insurger contre la laideur envahissante, contre la bassesse promue en vertu et contre les mensonges élevés au rang de vérités. Je n’ai pas cessé de m’insurger contre ceux qui, sous nos yeux, veulent la mort de l’Europe, civilisation, peuple et puissance, sans laquelle je ne serais rien. »

« La France et l’Europe doivent accomplir leur révolution nationaliste – nous dirions aujourd’hui identitaire – pour survivre. Des changements superficiels n’atteindraient pas le mal. Rien ne sera fait tant que les germes du régime ne seront pas extirpés jusqu’à la dernière racine. Pour cela, il faut détruire son organisation politique, abattre ses idoles et ses dogmes, éliminer ses maîtres officiels et occultes, montrer au peuple combien on l’a trompé. Enfin, reconstruire. Non sur des constructions de papier mais sur une élite jeune et révolutionnaire, pénétrée d’une nouvelle conception du monde. »

« N’oubliez pas mon enseignement. Les ébranlements de notre temps ont des causes qui excèdent les seules forces de la politique. Il ne suffit pas de modifier des lois ou de remplacer un ministre par un autre pour construire de l’ordre là où sévit le chaos. Pour changer les comportements, il faut réformer les esprits. Quelle que soit votre action, votre priorité doit être de cultiver en vous, chaque jour, comme une invocation inaugurale, une foi indestructible dans la permanence de la tradition européenne. « 

« Je pars de cette constatation que les Européens sont vulnérables parce qu’ils n’ont pas conscience de ce qu’ils sont. Ils ne sont pas conscients de leur identité ni de leurs valeurs spécifiques. La tâche la plus urgente est donc de leur donner les fondements d’une structure mentale, d’une conscience de leur identité. »

« Si l’on n’est pas complètement aveugle, on se demande pourquoi le désir d’identité serait légitime chez les Noirs américains, les Chinois, les Arabes, les Israéliens, les Ouïgours, les Turcs ou les Maliens, mais condamnable chez les Européens ? »

« À 18 ou à 20 ans, comment un garçon épris d’absolu, d’engagement, de sacrifice, de foi… pourrait-il être démocrate, système basé sur le compromis, le scepticisme et la relativisation des idées, la réduction de toute chose aux petits intérêts et à la tranquillité bourgeoise. C’est une idéologie de vieillards et de rentiers, imaginée par des bourgeois (des gens qui pensent bassement) pour leur satisfaction propre. »

« Nous avons le confort, le savoir, l’opulence. Mais nos villes ne sont plus des villes et nos anciennes patries ne sont plus ce qu’elles étaient. L’excitation des caprices les plus fous fait imploser notre civilité. L’argent est devenu l’étalon exclusif de toute valeur. Sous les apparences de la démocratie, nous ne sommes pas libres. Les causes remontent loin. Mais l’histoire n’est jamais immobile. Le moment est venu pour les Français et les Européens de se réveiller et de se libérer. Comment ? Certainement pas en replâtrant ce qui nous a conduits où nous sommes. À défaut de posséder une religion à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une riche mémoire occultée, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance. Devant le vide sous nos pieds, la voracité démente du système financier, les menaces d’un conflit de civilisation sur notre sol, ce “Bréviaire” propose de réveiller notre mémoire et d’ouvrir des pistes neuves pour penser, vivre et agir autrement, permettre à chacun de se reconstruire dans la fidélité à des modèles supérieurs » (Bréviaire des insoumis).

« Un héroïsme sans drapeaux ni tambours. Semblable à l’enfantement, il se manifeste dans le silence du quotidien et des tâches sacrées par lesquelles, chaque jour, les femmes font renaître la vie au sein d’un foyer. Oui, il y a une sacralité des gestes quotidiens des femmes, parce que ces gestes renouvellent la vie par les travaux de la maison, le soin aux enfants, la préparation des repas, l’attention à la toilette, toutes choses par lesquelles un foyer existe ou non, et par lesquelles la transmission de la tradition s’effectue par exemplarité. »

« Le récit chrétien coupe l’Européen de ses origines, de son moi, de son patrimoine, le place dans un système d’identité qui ne provient pas de l’Europe. Son identité est évidée de l’intérieur, ne laissant que des formes mortes et vides, des musées. Chaque peuple a son récit. A chaque peuple ses dieux. A chaque peuple son terreau et son identité. »

Jules Verne – « Pourquoi l’Homme a-t-il un goût si profond pour la liberté, et si peu de don pour en jouir. » (Mathias Sandorf)

Pierre Vial – « Rien n’est jamais écrit d’avance. Tout au moins tant qu’il reste des hommes refusant de plier le genou et décidés à rester maîtres de leur destin. »

« Nous savons, nous, que faute de vouloir faire l’histoire, on devient sa victime. Se soumettre ou se battre ? Nous nous battrons ! »

« Aujourd’hui comme toujours, le combat plurimillénaire oppose les peuples du désert et ceux de la forêt, ceux qui obéissent à la loi du Sinaï et ceux qui sont fidèles à la voix de Thulé. Quand on a compris cela tout s’éclaire, tout devient simple, on sait où est l’ami et où est l’ennemi. »

« Nous ne nous faisons aucune illusion. Nous sommes, nous avons choisi d’être, dans le camp des damnés. Pour toujours. Et on s’y sent bien puisque c’est le seul endroit où l’on croise des hommes et des femmes dignes d’admiration. »

Gilles Vigneault – « Un pays sans légendes, à la mémoire vide, aux racines sèches, n’est plus un pays, mais un territoire sans âme, un terrain vague, sur lequel n’importe qui peut se permettre n’importe quoi. »

« C’est par l’enracinement que nous découvrons la possibilité de la renaissance. Et je me dis qu’un pays qui renoue avec ses légendes, qui redécouvre ses grands mythes, qui ne se laisse plus séduire par les déconstructeurs qui nous expliquent que tout, dans notre culture, est faux ou perfide, peut du coup se réanimer. »

Varg Vikernes – « Je ne me définirai pas comme un suprémaciste blanc. Je ne veux pas de domination blanche dans le monde. Je veux juste que l’Europe reste européenne. Et l’Afrique africaine, l’Asie asiatique ».

« Je suis un traditionnaliste européen. Mon paganisme est la religion et la tradition de l’Europe, de notre sang européen. Les racines, le tronc, les branches, les fruits et les feuilles de notre arbre de vie, de ce que nous sommes. Les chrétiens ont détruit notre culture et notre art païen. En rasant les temples païens pour y mettre leurs églises, le plus souvent en récupérant/réemployant les matériaux. Je n’ai aucune estime pour tout ce que le christianisme a produit. Quand je vois une église, je songe à la vérité païenne, à notre âme qui est enfouie dessous. Seul le génie de nos peuples m’intéresse. Les églises sont des temples orientaux servant une foi étrangère. Avant le christianisme, nous étions plus respectueux de la nature, des arts. Nous faisions partie à part entière de la nature. C’est le judaïsme et son avatar chrétien qui ont rompu cette harmonie. Ce fut comme une mort mentale et spirituelle pour l’âme européenne authentique et originelle. La Renaissance favorisa un retour aux valeurs antiques. C’est alors que le christianisme essaya d’achever son infecte besogne en traquant les dernières traditions encore en vie. Mais ils ont échoué et les racines païennes de l’Europe vivent encore. Elles ne sont pas mortes. Nous devons retrouver nos vraies racines. »

Vladimir Volkoff – « Le premier symptôme de la désinformation, c’est quand tout le monde dit la même chose. »

« La drogue, l’alcoolisme, l’irrespect de l’âge, le terrorisme des parents copains, la criminalité, les prisons bourrées servant d’universités du Mal, la pornographie, la pédérastie, la pédophilie, ça te plaît, à toi ? C’est tout ce que la civilisation européenne est capable de produire maintenant, et ça s’appelle comment ? Ça s’appelle le matérialisme. Il y avait le matérialisme agressif des communistes qui s’est effondré, le matérialisme lénifiant des Amerloques n’est pas préférable. »