Valéry Giscard d’Estaing, comme chacun sait président de la République française de 1974 à 1981, de « centre-droit », est l’auteur des perles suivantes. Une liste non exhaustive bien entendu, ne perdons pas trop de temps avec ce Monsieur, mais déjà amplement suffisante pour démontrer son degré de nocivité et de forfaiture contre les intérêts de la France, et le ranger définitivement sur le banc des malfaisants suprêmes ayant œuvré à la destruction du pays. VGE continue évidemment de bénéficier dans le microcosme politico-médiatique, et dans le gros du troupeau, de l’aura d’un Grand homme.
– Il est allé rendre hommage à la dépouille momifiée de Lénine sur la place rouge.
– Il a dit de Mao que c’était un « phare de la pensée universelle ». Une expression qui par son énormité est passée à la postérité. Il la prononça lors de l’un de ses voyages en Chine alors qu’il déposait une gerbe de fleurs sur le mausolée du « Grand timonier ». A la rigueur, on aurait compris qu’il évoquât par nécessité diplomatique la forte personnalité du dictateur rouge ou encore son habileté stratégique, la force de ses convictions. Mais « phare de la pensée universelle » !…
– Il a fait l’éloge de Jean-Paul Sartre, disant qu’il fut « l’une des grandes lueurs d’intelligence de notre temps ». A vomir.
– Il a pris pour ministre de la Santé Simone Veil, la femme qui donnera un coup d’arrêt mortel à la natalité du pays, permettant de justifier ensuite le « besoin » d’importation de main d’œuvre au service du patronat négrier.
– Il a fait avec Jacques Chirac, l’autre superbe fripouille de l’attelage exécutif de son mandat, le regroupement familial réclamé par Francis Bouygues et le patronat.
– Il a été un européiste fervent.
Son frère Olivier sera membre du Conseil pour l’avenir du monde (« World Future Council »), et président du Comité pour un parlement mondial. Difficile de faire plus mondialiste, plus antinational, que cette fratrie.
Polaris média 