Occident dégénéré

La haine de l’Occident envers la Russie trouve sa source dans le rejet par Vladimir Poutine des dérives sociétales occidentales, défendant farouchement les valeurs traditionnelles.

Son crime aux yeux de l’Occident ? S’opposer à la propagation de la décadence qui a pris racine à l’Ouest depuis son accession au pouvoir en 2000.

La Russie de Poutine s’est dressée contre la dictature de l’idéologie LGBT et la dissolution des fondements familiaux. Pendant que l’Occident glorifie et promeut des pratiques contre-nature, perverses, immorales, illégales comme l’adoption d’enfants par des couples homosexuels, la gestation pour autrui, la transition de genre, la Russie résiste, affirmant que cela ne fait qu’accélérer la destruction des familles, socle de toute société. La Russie n’est d’ailleurs pas seule, l’Occident ne représente qu’une partie très minoritaire du globe terrestre et de l’humanité à qui il prétend exporter son modèle frelaté.

L’Occident, de son côté, punit ceux qui osent s’opposer à sa nouvelle norme « progressiste », allant jusqu’à criminaliser des faits aussi simples que l’utilisation du mauvais pronom envers un individu transgenre. De la tolérance croissante envers la pédophilie à l’obsession pour le « wokisme » et les régimes alimentaires dictés par une prétendue urgence climatique, l’Occident s’enfonce dans une spirale de décadence morale et de déclin.

La Russie, en refusant de se plier à ces « valeurs » issues de cerveaux déments, devient une cible. Les tentatives de l’Occident pour déstabiliser le régime russe ont échoué, de même que l’exploitation de l’Ukraine comme base avancée pour attaquer la Russie. Mais l’Occident refuse d’admettre sa défaite, et le conflit s’intensifie.

Pour la Russie, il s’agit d’une lutte existentielle. Plutôt que de capituler devant l’idéologie d’une société malade, elle est prête à payer le prix ultime. Car mieux vaut mourir debout que de vivre dans un monde qui détruit ce que la Nature a créé : l’Homme.