Que reste-t-il d’espace de liberté ?

Une capuche et un cache-nez suffisent au malfaiteur, les membres de black blocs l’ont bien compris, pour ne pas être identifiables par une caméra. Les caméras de vidéosurveillance de voie publique n’ont jamais empêché la commission d’une infraction, elles ne font que l’enregistrer. En revanche, dans le cadre d’un système de contrôle numérique de la population par reconnaissance faciale, l’honnête homme circulant normalement sera parfaitement identifié.