Je rêve d’un corps social homogène

Jean-Luc Mélenchon est un danger pour notre identité. Tout comme Emmanuel Macron, les mondialistes, et tous ceux qui ont dirigé la France depuis cinquante ans. Il rêve lui aussi de société multiraciale, de la « créolisation » de la France, et de l’Europe. Cet homme pétri lui aussi d’universalisme maçonnique ne supporte pas les racines. Il ne respire pas dans un environnement trop blanc. Ses déclarations sont connues. C’est donc à lui d’aller vivre sur le continent africain, ou ailleurs hors d’Europe, puisque ce bain lui sied davantage, au lieu de vouloir l’imposer ici à la majorité légitime de ce territoire. Légitimité fondée par ce que le Destin a fait des siècles d’histoire sur ce sol européen. C’est ainsi, l’Europe c’est la terre des blancs, des Européens. Et nous n’avons évidemment aucune raison d’accepter de disparaitre de l’histoire de ce monde pour satisfaire les utopies des loges et les intérêts financiers d’un patronat félon. On sait bien que le rapport qu’ont ces idéologues maçons mentalement dérangés avec les populations est celui de l’argile et du potier, qu’ils se prennent pour des démiurges. N’en déplaise, on ne joue pas avec les nations comme avec de la pâte à modeler Play-Doh, à brasser les couleurs pour n’aboutir qu’à un tas d’une teinte ne ressemblant plus à rien. Mes parents n’avaient pas signé pour ça lorsqu’ils sont venus en France dans les années 50. Mais ils ne connaissaient pas la nature réelle et profonde du pouvoir français, où quelques-uns selon leurs rêveries se sont permis, comme l’écrit La Chaîne d’Union de Paris Journal de la Maçonnerie Universelle en 1889, de décider pour tous que « les Français verront sans voyager les caractères de toutes les nations et que les étrangers apprendront par expérience que la France est la patrie de TOUS les peuples ». A titre personnel, ce qui heurte ma vue ce sont les tenues vestimentaires islamiques et africaines, c’est d’être comme exilé sans avoir bougé d’ici, ce qui me met mal à l’aise c’est d’entendre du rap et de la musique orientale dégueuler de façon sans-gêne des voitures vitres baissées, comme autant d’étendards conquérants, c’est des populations dissonantes par l’aspect et par les mœurs, c’est une société où je ne me reconnais pas dans les visages que je croise. De longue date je ne supporte plus ce qu’est devenu ce pays. Aujourd’hui je rêve d’un corps social homogène.

Dragi MAJSTOROVIC